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faut-il des elevages de porc en France

earl du plessis adam jean-bernard

1 05-Déc-2010 10:16 (il y a 13 ans 4 mois 20 jours)

Nos contraintes en tout genre sont en train de nous exploser a la figure et nous assistons a la mort de nos elevages les uns apres les autres.Pour la plupart d'entre nous nous n'avons pas de surfaces pour amortir la speculation sur les cerales ... sans remonter des cours entre 20 et 30 % vont disparaitre sans que cela sauve la filiere francaise mais nous n'aurons plus d'algues vertes en Bretagne ....L'alimentation est pourtant une arme du futur mais nos technocrates europeens pense que le marche reglera tout si on regarde ce que font les chinois a tres longue echeance meme courte on a des soucis a se faire (Presence partout ou ily a des minerais , des terres disponibles , du petrolr du gaz et meme des vignes...) Bon courage a nos politiques pour nous sauver s'ils en avaient eu une fois l'envie...
lili

2 05-Déc-2010 10:41 (il y a 13 ans 4 mois 20 jours)

les politiques passent avant tout dans l'écoute du syndicat majoritaire , cela fait des années que le cancer se généralise tout ceci pour sauver leurs privilèges personnels et non les éleveurs . Eh oui cela va nous exploser a la figure. Restons positif cela va s'arranger n'est ce pas messieurs.
sity

3 05-Déc-2010 11:01 (il y a 13 ans 4 mois 20 jours)

Vive la bretagne,elle est miss France..............
pascal

4 05-Déc-2010 11:15 (il y a 13 ans 4 mois 20 jours)

la Bretagne est aussi miss France du dépôt de bilan en production agricole
Eleveur au bout du rouleau

5 05-Déc-2010 11:56 (il y a 13 ans 4 mois 20 jours)

La réponse est non.
Ceci est mon dernier message sur le forum.
Bon courage à ceux qui continuent.
normes 2013

6 05-Déc-2010 18:55 (il y a 13 ans 4 mois 20 jours)

en reponse,nannnnnnnnn.
4 ans de crises et toujours autant de porcs en france,par contre moins d'eleveurs et c'est pas fini,on est au bout du bout.
pour couronner le tout,les normes 2013 obligatoires,c'est comme les cvo,c'est le minimum syndical pour continuer a perdre ce qu'on ne peut plus perdre,investir pour perdre de l'argent pour ceux qui sont assis,et depot de bilan pour les autres,mais toujours autant de cochons voir plus selon l'ifip,par contre je voudrai bien qu'ils nous expliquent comment on fait pour investir et vivre de notre job si on peut appeler ca vivre...
porceletdu16

7 05-Déc-2010 19:18 (il y a 13 ans 4 mois 20 jours)

Ce sont les coops qui vont investir .
L'élevage porçin est bien un élevage hors sol donc pas besoin du paysan et de ses terres pour monter un élevage.
Les oppositions, écolo, politique et autres me direz-vous, vous verez que passer 2013 elles vont se calmer sous l'influence d'un certain syndicat qui aura obtenuce qu'il veut: une France de gros céréaliers qui approvisionnera des élevages INDUSTRIELS qui fonctionneront en intégration. 50 000 céréaliers et 1000 éléveurs suffisent pou faire tourner la ferme France.
M. Barnier

8 05-Déc-2010 19:22 (il y a 13 ans 4 mois 20 jours)

MOI JE SUIS AU NORMES 2013
QUAND EST CE QUE VOUS ALLEZ ARRETER?
POUR CELA JE PROPOSE UNE NOUVELLE BAISSE DES COURS DE 10 CTS
y en a marre

9 05-Déc-2010 21:28 (il y a 13 ans 4 mois 20 jours)

à porceletdu16
L'élevage de porc n'est plus une production hors sol . Les élevages qui résistent le mieux à la crise ce sont les élevages qui sont autosuffisant en céréales et en plan d'épendage.
Donc il faudrait donner la priorité aux élevages de porcs pour s'agrandir en terres et non à l'installation des jeunes (fils de gros céréaliers ).
C'est la plus grande supercherie qui puisse exister en agriculture.Les fils de céréaliers ne s'installent jamais chez leur pères car ils gardent leur priorités pour leur agrandissement.La grande FNSEA défende cela , c'est honteux !!!!
realiste

10 06-Déc-2010 9:20 (il y a 13 ans 4 mois 19 jours)

bien résumer "y en a marre "
albert

11 06-Déc-2010 10:25 (il y a 13 ans 4 mois 19 jours)

porceletdu 16 tu dit les coop vont investir...mais non ils font investir les éleveurs dans des mater collectives , aucun interêt pour l'éleveur mais la restructuration des élevages est financée par les éleveurs et c'est les coop qui récupéreront le bébé...
OLMER

12 06-Déc-2010 18:30 (il y a 13 ans 4 mois 19 jours)

LA fnsea et les coops sont les cancers de l agricultures!!!
QUE FONT ILS EN CE MOMENT?
RIEN RIEN RIEN ET ENCORE RIEN
stepha10

13 06-Déc-2010 19:47 (il y a 13 ans 4 mois 19 jours)

c'est vraiment ca OLMER , t'es pile dans le mille, les bons a rien de la fdsea sont souvent les memes guignols qui pensent nous representer dans nos supers COOPS!! .ces derniers ne me represent pas du tout . Alors qu'ils cessent de se prendre pour des incontournables decideurs .OK! les pots de fleurs des conseils d'administration!!
y en a marre

14 07-Déc-2010 7:50 (il y a 13 ans 4 mois 18 jours)

LA SOLUTION

Les prix de ventes ne monteront jamais ; c'est comme çà et çà ne changera jamais.
Il faut donc s'attaquer au prix de revient:
Donner des terres aux éleveurs de porcs ,et donc moins de fermes qui disparaissent et donc plus d'emploi
Autorenouvellement
FAF
Coproduit
Prélèvement des verrats
Achat groupé des minéraux
Vente à la ferme de viandes
Autoconstruction des porcheries
Pas d'échographie
etc
En bref mettre tout le monde dehors en particulier nos responsables qui cherchent dabors leurs intérets .

JE SUIS POUR LA REVOLUTION EN PRODUCTION PORCINE !!!!!!!!
lili

15 07-Déc-2010 10:44 (il y a 13 ans 4 mois 18 jours)

Projet de budget de l'Agriculture pour 2011 : l'agriculture française, malade à en crever
A pareille époque, l’année dernière, l’état de santé du monde agricole pouvait être qualifié de désastreux. Les chiffres de l’actuel recensement montreront certainement une saignée sans précédent dans les exploitations agricoles. La crise n’est pas derrière nous. A certains égards, elle est même désormais devenue le quotidien des agriculteurs.
L’année dernière, nous parlions de crise laitière « idéale-typique des crises agricoles liées aux dérégulations des marchés dans un secteur pour lequel tous les économistes admettent qu’il n’est pas compatible avec le marché libre ». Si les cours du lait ont remonté de 10% à la suite d’accords arrachés à l’aval, ils n’en restent pas moins guère compatibles avec l’idée d’une santé florissante.
Cette année, ce sont les fluctuations démentielles des cours des céréales qui inquiètent. Le blé coté à 120 euros en juillet 2010 est monté à 215 euros mi-octobre après avoir culminé à 233 euros en août. En cette fin octobre 2010, à Chicago, le soja et le maïs s'envolent vers des niveaux record par considération de nouvelles baisses de rendements sur les États-Unis alors que dans le monde, la récolte s’avère très bonne. Si les producteurs de ces secteurs ne peuvent que se réjouir, tel n’est pas le cas des éleveurs, déjà fragiles. Le renchérissement du coût de l’alimentation animale ne peut qu’accabler un peu plus notamment les éleveurs laitiers.
La crise a désormais des répercussions politiques importantes avec la prise de conscience qu’aucune solution ne peut être strictement nationale. Ainsi, le 20 octobre, plusieurs centaines de producteurs laitiers européens ont manifesté à Strasbourg, à l'appel de l'EMB (European Milk Board, dont l'Apli et l'OPL sont membres), pour demander aux eurodéputés de promouvoir des « conditions de concurrence équitables ». Les conclusions du groupe de haut niveau, du 17 juin 2010 apparaissent en réalité bien faibles, se contentant d’une régulation privée, sans véritable intervention publique.
En viande Bovine, la hausse des cours des céréales sera sans doute très dure à assimiler tant les prix payés aux agriculteurs restent bas. Un graphique montre ainsi l’écart entre le prix payé aux éleveurs et le prix payé par les consommateurs :
Cet exemple peut être répété pour de nombreuses autres productions, d’autant plus que les négociations commerciales entre les agriculteurs et leur aval sont des plus difficiles.
La FNSEA peut ainsi écrire : « Plus que jamais, la production agricole est « otage » de négociations commerciales de plus en plus agressives. Elle constitue la variable d’ajustement pour tous les opérateurs d’une filière.
La LME ne semble pas avoir atteint son objectif de rééquilibrage de ces négociations commerciales. Comme le révèle une enquête réalisée par l’ANIA auprès de ses adhérents, les dérives et les abus n’ont jamais été aussi nombreux (demandes de colis gratuits, demandes de compensation de marge, déréférencement total ou partiel sans préavis…).
Au final, une réglementation bafouée, une autorité régalienne mal assurée qui a pour effet de mettre en péril des pans entiers de l’agriculture. »

Dans ce contexte, et au regard des orientations budgétaires actuelles, le budget français n'est pas la potion substantielle nécessaire aux producteurs.
Silence, on meurt !
JEAN-Michel Clément.



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