inaporc =inaction

Des années que vous financeez une interprofession qui vous ruine.vous acceptez??

moi j'adore ! ils font des supers pubs a la télé, vachement intelligent !

(attention du second degré s'est peu être glissé dans ce message)

Voila la question allons nous tout accepter?

Avons nous encore confiance dans nos groupements/cooperatives/interprofession?Pensez vous que c'est eux qui vont nous sortir de cette crise?lLe systeme cooperatif a vecu et ne fait plus aujourd'hui le travail pour lequel on le paie.Dans nos elevages nous n'avons pas le droit à l'erreur.N'ont ils pas fait d'erreurs?Le probleme ne date pas du mois d'aout.Qu'ont fait tous ces organismes pour anticiper?Ils nous demandent toujours plus de productivité.Et eux sont ils productifs?Le business des coops est lucratifs mais pas pour le producteur.Qui est chargé de commercialiser nos porcs?Ils ont fait de mauvais choix,de mauvais investissements.Les coops sont gérés comme des administrations pas comme des entreprises.Quand à ceux qui passent dans nos elevages ,brandissant cahiers des charges et comparant nos résultats:quels sont leurs resultats à eux?Qui gagne de l'argent aujourd'hui?Nos élus n'ont plus les pieds sur terre à force de marcher sur la moquette.Ils préferent cultiver l'image plutot que le champs.Ils oublient qui ils sont quand ils portent la cravate.Et des lors qu'on les appelle "président"ils deviennent manipulables et corrompus.Ou sont ils nos élus actuellement?Cachés dans des salles de réunions,entre eux,évitant rencontre,debat,et affrontement.

Entièrement d accord, j espère que tes écrits vont être lu!

waouh tous a fait daccord,

et il on l'air malin quand il t'amene tes résultats comparer au autre, disant que tu peux toujours mieux faire, sachant que la colonne tête represente les meilleurs résultats par critere et non par elevage.

Aujourd'hui c'est à leur tour de bien travailler leur technique de baisser leur coût de production en baissant les salaires des personnes qui prennent les décisions et comme ils prêtent beaucoup d'importance à l'image!!!!!!!!   Et il faut qu'ils comprennent que seul la baisse du prix de l'aliment peut nous aider sinon ce sera la mort des éleveurs, c'est est à eux de jouer. C'est à leur tour d'avoir la pression

Porc

Inaporc plaide pour des « partenariats extrêmement forts » dans la filière

Dans une lettre ouverte rendue publique le 18 novembre 2015, Guillaume Roué, le président de l'interprofession porcine, estime que l'avenir de la filière porcine nécessite « des partenariats extrêmement forts » entre ses maillons. Il en appelle également aux « dirigeants politiques [pour] qu'ils accompagnent [la] filière par des décisions courageuses et volontaristes ». Qualité, information du consommateur, transparence, fluidité, respect de son fournisseur, distorsion de concurrence... la liste des dossiers sur la table du secteur est longue. « Le chacun pour soi ne marche pas, les relations interprofessionnelles sont difficiles car les intérêts sont divergents, constate Guillaume Roué. Ne peut-on pas jouer autrement en se disant qu'une complémentarité est pourtant indispensable pour la survie de chacun. » Le président d'Inaporc met en garde contre les risques que court le modèle des exploitations à capitaux familiaux qu'il considère comme un rempart contre l'intégration. « Ce modèle doit être partagé par tous et protégé, insiste-t-il. Que l'on appelle cela contractualisation ou contrat de filière, peu importe, l'essentiel c'est qu'il y ait une vraie prise de conscience de la filière porcine française dans l'ensemble de ses composantes pour garder sur notre territoire une certaine autonomie alimentaire et, bien entendu, pour partir à la conquête des marchés à l'exportation. » Si Guillaume Roué en appelle aux politiques c'est parce qu'il estime que, « même avec la meilleure volonté du monde, les acteurs de la filière porcine française ne peuvent rien faire tout seul. Nous avons besoin de perspectives, de stabilité réglementaire, de laisser libre cours à l'entreprenariat, que des jeunes s'intéressent à ce métier, de retrouver des règles de concurrence équilibrées. Il est plus que temps d'arrêter les réflexes bourgeois d'une société qui a trop longtemps jeté le bébé avec l'eau du bain. Alors nous disons « Oui » bien sûr aux enjeux sociaux et sociétaux mais également « Oui » à l'économie. C'est la base. Chacun doit prendre ses responsabilités. »

Parler pour ne rien dire, mais au moin il est en vie

tout a fait rien de neuf