Des offres de porc adaptées à la demande
Les offres, bien que peu élevées en dépit des quelques reports d’abattage, sont adaptées à la demande qui peine toujours à décoller de façon significative.
Les offres, bien que peu élevées en dépit des quelques reports d’abattage, sont adaptées à la demande qui peine toujours à décoller de façon significative.
Le Parlement et le Conseil sont parvenus à un nouvel accord provisoire sur la prorogation des mesures commerciales temporaires en faveur de l’Ukraine.
Après les hausses intervenues au cours du mois de février, c’est la stabilité des prix qui a prévalu au mois de mars sur les marchés du porc, notamment en Europe du Nord tandis qu’au sud, les hausses de prix se sont poursuivies notamment dans la première partie du mois pour décroître peu à peu à l’approche des fêtes de Pâques.
Après s’être fortement accrus en 2021 et 2022, les importations françaises du porc marquent un recul en 2023.
La reprise marquée de la production entraîne une hausse de la trituration et des exportations au cours de la nouvelle saison.
Comme pressenti, les cours du porc sont restés très majoritairement stables sur l’ensemble des marchés en Europe durant cette semaine Sainte.
A la veille des fêtes de Pâques, les marchés du porc en Europe ont affiché des prix entre stabilité ou hausses modérées.
En 2024, la production de porcs et de viande de porc diminuera légèrement, car la faiblesse persistante des prix des porcs vivants pèse sur les éleveurs.
Le PE et le Conseil sont parvenus mercredi à un accord provisoire sur la prolongation des mesures de libéralisation des échanges avec l’Ukraine tout en apportant des garanties aux agriculteurs de l’UE
Sans commerce suffisant, l’évolution des cours du porc en Europe marque le pas malgré des offres peu élevées. Sur les marchés intérieurs, la consommation est faible, impactée par la baisse du pouvoir d’achat.
Les variations de prix sur les marchés européens du porc vivant ont évolué la semaine passée entre stabilité dans le nord de l’Europe et poursuite de la hausse en France et en Espagne notamment.
Selon les commentaires rapportés des différentes places, c’est le manque d’offres qui oriente les cours vers le haut.
Le rythme des hausses de prix du porc est énergique et déterminé. Le marché sera-t-il la copie conforme de l'année dernière ? Ce n'est pas ce qu'opine Guillem Burset, qui ne pense pas que nous atteindrons cette année 2,025 €/kg vif…
Malgré des offres limitées, les cours du porc ont été globalement reconduits dans le nord de l’Europe après deux semaines de hausses significatives. Mais le marché de la viande peine à intégrer totalement ces hausses.
Le marché européen du porc vivant poursuit sa tendance haussière.
La référence officielle en Allemagne a repris 10 centimes mercredi 7 février.