Articles sur Importations en Nouvelles

Le Parlement et le Conseil sont parvenus à un nouvel accord provisoire sur la prorogation des mesures commerciales temporaires en faveur de l’Ukraine.

Après s’être fortement accrus en 2021 et 2022, les importations françaises du porc marquent un recul en 2023.

La reprise marquée de la production entraîne une hausse de la trituration et des exportations au cours de la nouvelle saison.

En 2024, la production de porcs et de viande de porc diminuera légèrement, car la faiblesse persistante des prix des porcs vivants pèse sur les éleveurs.

Le PE et le Conseil sont parvenus mercredi à un accord provisoire sur la prolongation des mesures de libéralisation des échanges avec l’Ukraine tout en apportant des garanties aux agriculteurs de l’UE

Au cours de l'année 2023, la Chine a importé un total de 2,72 millions de tonnes de viande de porc et d'abats, soit une baisse de 5 % par rapport à l'année précédente et la moitié des importations d'il y a trois ans.

Après cinq ans, le marché chinois s'ouvre à nouveau à la viande de porc belge.

Les importations espagnoles de porcelets néerlandais augmentent régulièrement. En 5 ans, elles ont doublé.

Voici les principales conclusions du dernier rapport mensuel sur les échanges agroalimentaires publié par la Commission européenne.

Pour l’ensemble de l’année, l’Indice FAO des prix des céréales en 2023 était inférieur de 15 % à la moyenne annuelle record enregistrée en 2022.

L'Annuaire statistique de la FAO fournit des informations sur les tendances mondiales de la production de viande.

La peste porcine africaine (PPA) s'est propagée de l'Europe à la Chine en 2018, ce qui constitue l'un des plus grands incidents de maladies animales jamais enregistrés. L'épidémie a limité l'offre de viande de porc en Chine, et les prix du porc chinois ont plus que doublé pour atteindre des niveaux records.

La valeur des exportations de viande de porc a diminué, les volumes exportés ayant diminué de 18 %.

Au Royaume-Uni, la production de viande de porc continue d'être touchée par les conditions du marché de ces deux dernières années, l'offre nationale restant limitée.

Selon les projections de l'USDA, les principaux pays producteurs de porcs devraient maintenir leur position et leur importance en termes de production, de commerce international et de consommation, malgré la situation économique difficile qu'ils traversent et qui a entraîné une baisse de leurs indicateurs principaux.

Sur la base des estimations pour les pays les plus représentatifs de la région, tirées du dernier rapport "Bétail et volaille : marchés et commerce mondiaux" publié par l'USDA le 12 octobre, voici les prévisions pour les variables clés à l'horizon 2024.