Peu d’offre, peu de demande
En Europe, les commentaires sont unanimes concernant le marché du porc : la demande se satisfait des disponibilités, aussi faibles soient-elles.
En Europe, les commentaires sont unanimes concernant le marché du porc : la demande se satisfait des disponibilités, aussi faibles soient-elles.
Le faible nombre de porcs abattus sur le marché de l'UE continue de soutenir les prix élevés du porc, alors que la demande de l'UE reste forte.
Les tendances de prix sur les marchés du porc vivant restent inchangées pour la plupart des bassins de production.
Les prix en Chine diminuent et se rapprochent des prix européens.
L'offre de porcs vivants est élevée, tandis que les prix sont bas.
Les marchés du porc vivant abordent le mois de juillet en affichant des prix stables pour la plupart des grands bassins.
Hausse des prix allemands et belges tandis qu'en Espagne le prix se maintient pour la treizième semaine consécutive.
Mercolleida a affiché le même prix pour la treizième fois consécutive. L'Espagne continue d'avoir le prix du porc le plus cher du monde avec ce que l'on appelle déjà le "Miracle espagnol".
Stabilité en Espagne, Allemagne, Danemark, … Hausse en France, Italie, Belgique, Pays-Bas …
La référence officielle en Allemagne a été stoppée et en Espagne, la situation reste inchangée.
Actionné par une demande en hausse, le prix du porc a évolué favorablement cette dernière semaine sur de nombreuses places de cotations européennes.
Malgré des situations de marché plutôt favorables, les pays voisins ont suivi la tendance allemande.
Les cours du porc progressent dans un contexte de meilleure demande liée aux longs week-ends de l’Ascension et de la Pentecôte, favorisée aussi par l’amélioration de la météo propice à la vente des produits à griller.
Quelles sont les conséquences pour les exportations ? Pour les abattoirs ? Comment sera gérée la traditionnelle réduction de l'offre en été, exacerbée cette année par le SDRP ?
En Europe, les cours se sont stabilisés dans la plupart des pays dans un contexte de demande intérieure qui tarde à surgir et d’offre en fort recul. La France a vu la cotation au Marché du Porc Breton diminuer progressivement et au Danemark, le prix des porcs tente de rattraper leur retard par rapport aux autres références.
Selon les acteurs de marché, les offres sont faibles. Cette faiblesse de l’offre ne devrait pas s’améliorer avec la montée précoce des températures.