Des offres de porc adaptées à la demande
Les offres, bien que peu élevées en dépit des quelques reports d’abattage, sont adaptées à la demande qui peine toujours à décoller de façon significative.
Les offres, bien que peu élevées en dépit des quelques reports d’abattage, sont adaptées à la demande qui peine toujours à décoller de façon significative.
La récolte de soja a commencé avec de bons rendements, mais seulement 3 % des premiers lots de soja dans la région centrale ont été récoltés. La récolte de maïs accuse un retard de 30 % par rapport aux cinq dernières saisons.
Après les hausses intervenues au cours du mois de février, c’est la stabilité des prix qui a prévalu au mois de mars sur les marchés du porc, notamment en Europe du Nord tandis qu’au sud, les hausses de prix se sont poursuivies notamment dans la première partie du mois pour décroître peu à peu à l’approche des fêtes de Pâques.
La reprise marquée de la production entraîne une hausse de la trituration et des exportations au cours de la nouvelle saison.
Comme pressenti, les cours du porc sont restés très majoritairement stables sur l’ensemble des marchés en Europe durant cette semaine Sainte.
A la veille des fêtes de Pâques, les marchés du porc en Europe ont affiché des prix entre stabilité ou hausses modérées.
Les transactions de maïs, entre contrats et fixations, ont été dynamiques depuis le début de l'année 2024, tirées par la demande à l'exportation. Au Brésil, la récolte progresse, avec des projections divergentes quant au chiffre final.
Sans commerce suffisant, l’évolution des cours du porc en Europe marque le pas malgré des offres peu élevées. Sur les marchés intérieurs, la consommation est faible, impactée par la baisse du pouvoir d’achat.
Les variations de prix sur les marchés européens du porc vivant ont évolué la semaine passée entre stabilité dans le nord de l’Europe et poursuite de la hausse en France et en Espagne notamment.
Selon les commentaires rapportés des différentes places, c’est le manque d’offres qui oriente les cours vers le haut.
Malgré des offres limitées, les cours du porc ont été globalement reconduits dans le nord de l’Europe après deux semaines de hausses significatives. Mais le marché de la viande peine à intégrer totalement ces hausses.
Le marché européen du porc vivant poursuit sa tendance haussière.
Selon le rapport "Global pork quarterly Q1 2024" de Rabobank, la production ralentira en 2024.
La référence officielle en Allemagne a repris 10 centimes mercredi 7 février.
En raison de la vague de chaleur prolongée, environ 10 % de la superficie plantée en seconde culture de soja dans la zone centrale serait perdue. En ce qui concerne le 1er soja, le potentiel d'il y a quinze jours a disparu. La quantité de pluie de ce week-end est déterminante.
L’essentiel des places de cotations européennes ont affiché de la stabilité en fin de semaine dernière alors que le mois de janvier s’est achevé.