Les marchés du porc s’équilibrent à la veille de Pâques
A la veille des fêtes de Pâques, les marchés du porc en Europe ont affiché des prix entre stabilité ou hausses modérées.
A la veille des fêtes de Pâques, les marchés du porc en Europe ont affiché des prix entre stabilité ou hausses modérées.
En 2024, la production de porcs et de viande de porc diminuera légèrement, car la faiblesse persistante des prix des porcs vivants pèse sur les éleveurs.
Le PE et le Conseil sont parvenus mercredi à un accord provisoire sur la prolongation des mesures de libéralisation des échanges avec l’Ukraine tout en apportant des garanties aux agriculteurs de l’UE
Sans commerce suffisant, l’évolution des cours du porc en Europe marque le pas malgré des offres peu élevées. Sur les marchés intérieurs, la consommation est faible, impactée par la baisse du pouvoir d’achat.
Les variations de prix sur les marchés européens du porc vivant ont évolué la semaine passée entre stabilité dans le nord de l’Europe et poursuite de la hausse en France et en Espagne notamment.
Selon les commentaires rapportés des différentes places, c’est le manque d’offres qui oriente les cours vers le haut.
Le rythme des hausses de prix du porc est énergique et déterminé. Le marché sera-t-il la copie conforme de l'année dernière ? Ce n'est pas ce qu'opine Guillem Burset, qui ne pense pas que nous atteindrons cette année 2,025 €/kg vif…
Malgré des offres limitées, les cours du porc ont été globalement reconduits dans le nord de l’Europe après deux semaines de hausses significatives. Mais le marché de la viande peine à intégrer totalement ces hausses.
Le marché européen du porc vivant poursuit sa tendance haussière.
La référence officielle en Allemagne a repris 10 centimes mercredi 7 février.
L’essentiel des places de cotations européennes ont affiché de la stabilité en fin de semaine dernière alors que le mois de janvier s’est achevé.
Le calme est revenu sur les places du nord de l’Europe après les fortes baisses des prix du porc de la semaine précédente, enregistrées sous la pression des abattoirs, notamment néerlandais et allemands.
L'Union européenne continuera à jouer son rôle d'"îlot privilégié dans les prix mondiaux du porc".
Au cours de l'année 2023, la Chine a importé un total de 2,72 millions de tonnes de viande de porc et d'abats, soit une baisse de 5 % par rapport à l'année précédente et la moitié des importations d'il y a trois ans.
Après cinq ans, le marché chinois s'ouvre à nouveau à la viande de porc belge.
Les importations espagnoles de porcelets néerlandais augmentent régulièrement. En 5 ans, elles ont doublé.