Diminution de la production de viande de porc en Chine au premier trimestre 2024
Selon le Bureau national des statistiques, la production porcine chinoise a connu une légère baisse au cours du premier trimestre.
Selon le Bureau national des statistiques, la production porcine chinoise a connu une légère baisse au cours du premier trimestre.
Les offres, bien que peu élevées en dépit des quelques reports d’abattage, sont adaptées à la demande qui peine toujours à décoller de façon significative.
La récolte de soja a commencé avec de bons rendements, mais seulement 3 % des premiers lots de soja dans la région centrale ont été récoltés. La récolte de maïs accuse un retard de 30 % par rapport aux cinq dernières saisons.
En mars 2024, on comptait un effectif total de 74,6 millions de têtes dans les élevages des Etats-Unis.
La reprise marquée de la production entraîne une hausse de la trituration et des exportations au cours de la nouvelle saison.
En 2024, les perspectives dépendront des dynamiques des bassins producteurs en Chine, Union européenne, États-Unis et Brésil.
Nous verrons si le marché de printemps démarre à Pâques, comme le veut la tradition, ou s'il connaît un retard en raison de la date trop précoce dans l'année.
A la veille des fêtes de Pâques, les marchés du porc en Europe ont affiché des prix entre stabilité ou hausses modérées.
En 2024, la production de porcs et de viande de porc diminuera légèrement, car la faiblesse persistante des prix des porcs vivants pèse sur les éleveurs.
Des baisses de la production porcine, bovine et ovine sont attendues.
Les transactions de maïs, entre contrats et fixations, ont été dynamiques depuis le début de l'année 2024, tirées par la demande à l'exportation. Au Brésil, la récolte progresse, avec des projections divergentes quant au chiffre final.
Sans commerce suffisant, l’évolution des cours du porc en Europe marque le pas malgré des offres peu élevées. Sur les marchés intérieurs, la consommation est faible, impactée par la baisse du pouvoir d’achat.
Par rapport à celles présentées en février, les estimations de la production mondiale de maïs ont baissé de 2,3 millions de tonnes, alors que les chiffres du commerce international prévoient un volume d'exportations plus élevé pour les États-Unis, qui deviendraient ainsi le principal fournisseur de cette culture au niveau mondial. En ce qui concerne le soja, l'estimation de la récolte brésilienne a de nouveau été revue à la baisse, malgré des prévisions d'exportation à la hausse.
Les variations de prix sur les marchés européens du porc vivant ont évolué la semaine passée entre stabilité dans le nord de l’Europe et poursuite de la hausse en France et en Espagne notamment.
L'effectif de reproductrices ne montre aucun signe de croissance.