Le variant hautement pathogène du SDRPv, 1-4-4 L1C : émergence, origine et implications pour l'industrie porcine mondiale.
Cette souche de SDRPv affecte les États-Unis. Comprendre d'où viennent ces virus peut nous aider à stopper leur circulation.
Cette souche de SDRPv affecte les États-Unis. Comprendre d'où viennent ces virus peut nous aider à stopper leur circulation.
Dans cet article, nous résumons les discussions que nous avons eues avec le Dr Nauwynck au sujet de ses résultats de recherche sur l'évolution du virus du SDRP chez l'hôte.
Quel est l'effet réel des pneumonies sur la performance économique de l'élevage ? Qu'y a-t-il de semblable entre une pneumonie et le stress thermique ?
Le Dr Hans Nauwynck, professeur réputé à l'Université de Gand, passe en revue avec nous les découvertes les plus importantes qu'il a faites dans la recherche sur le virus du SDRP depuis sa découverte il y a 30 ans.
M. hyopneumoniae participe à la plupart des co-infections dans les cas de complexe respiratoire porcin. Comment agit-il et quels effets a-t-il ?
Quels types de cellules composent le système de défense respiratoire chez les porcs ? Comment s'organisent-elles et communiquent-elles entre elles ?
Différents agents pathogènes respiratoires produisent différents types de toux. La toux des porcs dans un bâtiment d'engraissement peut varier en fonction de l'infection présente. Cela vaut la peine d’écouter attentivement.
Une bactérie auparavant inconnue provoquant des signes de maladie pulmonaire chez les porcs a été nommée.
Une fois que les premiers symptômes d'infection ont été observés chez les porcs (température 41,5 ° C, toux, manque d'appétit), les salles ont été fermées à clé et on ne pouvait y entrer que de l'extérieur.
Beaucoup de vétérinaires trouvent que le curetage bronchique est moins invasif et surtout plus simple à réaliser que les lavages broncho-alvéolaires.
Analyse des raisons pour lesquelles on décide de vacciner contre la grippe un groupe de fermes d'engraissement appartenant à un système intégré dans lequel se produisent des symptômes respiratoires récurrents en fin d'engraissement et répercussion productive et économique de cette décision.
Les vaccins inactivés peuvent être efficaces s'ils sont combinés avec d'autres pratiques, comme le mouvement contrôlé des animaux et des personnes et l'analyse minutieuse de la coïncidence ou pas de l'antigène du vaccin avec celui de la souche circulante.
Enric Marco nous commente qu'il est relativement courant de se trouver avec des engraissements qui, dans leur phase finale, présentent une symptomatologie respiratoire qui répond mal aux traitements antibiotiques. Dans ces cas, on pense en général au virus du SDRP mais il est cependant moins fréquent d'envisager une infection virale mixte.
Un appariement parfait est idéal puisqu’il permet très peu ou aucune réplication/dommage du virus, excrétion ou signes cliniques. Cependant, si le virus est suffisamment similaire pour entraîner une réaction croisée, l’infection peut être réduite à 2 à 4 jours.
L'échantillonnage transversal (différents groupes d'âge pendant une visite d'élevage) a l'avantage de donner des résultats rapides.
Après l’évaluation clinique et sérologique, on décide de vacciner contre le SDRP, ce qui permet une amélioration sanitaire de l’élevage. Quelques mois après une toux sévère apparait en engraissement puis en post-sevrage et aussi chez les truies.