Cas clinique - Dépopulation : le poids du streptocoque !
Enfin, le dépeuplement constituait une option pour réduire la mortalité et l'utilisation excessive d'antibiotiques en post-sevrage et à des stades ultérieurs.
Enfin, le dépeuplement constituait une option pour réduire la mortalité et l'utilisation excessive d'antibiotiques en post-sevrage et à des stades ultérieurs.
Les effets secondaires des traitements périnataux sur le microbiote peuvent être préjudiciables à la santé des animaux.
Les flambées de S. suis sont souvent associées à des co-infections avec d'autres agents pathogènes et à des facteurs de stress identifiés comme des déclencheurs possibles. Cependant, le processus naturel de l'infection n'est pas entièrement compris, c'est pourquoi nous avons voulu savoir quelle était la situation chez les porcelets naturellement atteints.
Nous présentons les résultats d'une étude récente évaluant la fréquence des maladies liées aux infections à S. suis et les principaux coûts associés à la maladie dans trois grands pays européens producteurs de porcs.
Malgré des décennies de recherche sur les vaccins contre S. suis, les autovaccins sont pratiquement la seule stratégie de prévention dont disposent les producteurs de porcs, mais quelles sont leurs points faibles ?
Le programme de lutte contre S. suis doit également intégrer la conduite nutritionnelle du microbiote et de la muqueuse vers un équilibre correct.
Quelles méthodes de diagnostic de laboratoire utiliser pour diagnostiquer Streptococcus suis ? Laquelle choisir en fonction de la situation ? Comment interpréter les résultats ?
Cet article décrit les principales lésions qui caractérisent les principales pneumonies bactériennes. Bien que la plupart soient des agents opportunistes, il existe deux agents bactériens primaires qui sont capables de causer des lésions par eux-mêmes.
Pourquoi n'y a-t-il pas de vaccin commercial efficace contre Streptococcus suis?
Au moins 25 % des porcelets de 2 à 3 semaines étaient boîteux, au point que certains restaient allongés dans leurs refuges en tremblant et étaient incapables de se mettre debout.
On a détecté un érythème multiforme (EM) sur la majorité (90%) des truies associé avec des problèmes respiratoires et sans mortalité.
Le virus SDRP peut par lui-même induire des problèmes respiratoires légers ou graves mais rarement de la mortalité
Le virus SDRP favorise l'apparition d'infections secondaires comme celle produite par S. suis en touchant la fonction de nettoyage des macrophages alvéolaires.