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La capacité du pays à prévenir une future pandémie est considérablement renforcée grâce à l’annonce d’un investissement d’un milliard de livres dans un nouveau Centre national de biosécurité.
Ce financement permettra de lancer la prochaine phase de ce centre, qui prendra la forme d’un campus scientifique de pointe situé dans le Surrey, destiné à devenir la principale installation britannique en matière de biosécurité animale.
Cet investissement s’inscrit dans la nouvelle Stratégie de sécurité nationale, marquant un tournant dans l’approche du pays pour protéger les intérêts britanniques, tout en créant des emplois, des salaires et de la croissance pour la population, dans le cadre du Plan pour le changement du gouvernement.
Sans infrastructures solides et modernisées en biosécurité, l’introduction de maladies pourrait avoir des conséquences graves pour les agriculteurs, la production agricole, les communautés rurales et les chaînes d’approvisionnement essentielles. Les exportations de bétail, de viande et produits carnés, de produits laitiers et de sous-produits animaux représentent à elles seules 16 milliards de livres sterling par an pour l’économie britannique.
Ce financement renforcera les capacités nationales de détection, de surveillance et de contrôle des maladies animales à haut risque, telles que la grippe aviaire, la fièvre aphteuse et la peste porcine africaine, tout en améliorant la gestion simultanée de foyers multiples.
La nouvelle installation rejoindra un réseau de centres nationaux mis en place par le Cabinet Office dans le cadre de la Stratégie britannique de sécurité biologique et annoncée dans la Stratégie de sécurité nationale. Ce nouveau réseau de laboratoires gouvernementaux constitue une capacité souveraine essentielle pour assurer la sécurité du public face aux risques biologiques.
Ce réseau renforcera et formalisera la collaboration existante entre l’UK Health Security Agency, l’Animal and Plant Health Agency et le Defence Science and Technology Laboratory. Il permettra de mieux se préparer aux crises, de répondre plus efficacement en cas d’incident et d’adopter une approche plus globale de la recherche biologique.
24 juin 2025/ Gouvernement du Royaume-Uni/ Royaume-Uni.
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