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Les marchés porcins européens restent sous pression, entre baisse des prix, poids en hausse et demande variable, tandis que les États-Unis et la Chine peinent à se stabiliser.

Le marché porcin européen reste globalement stable, malgré une offre abondante en Espagne et une demande de viande atone dans plusieurs pays.

À court terme, les perspectives restent modérées ; à moyen terme, une offre réduite d’animaux vivants pourrait permettre au moins une stabilisation des prix.

Le marché porcin européen reste tendu avec une offre excédentaire. Les prévisions pour la période de Noël montrent une stabilisation, malgré la pression des prix et la concurrence internationale.

En septembre, les cours du porc ont fortement reculé dans toute l’Union européenne sous l’effet d’une offre en hausse et des tensions commerciales avec la Chine.

Le prix a tellement baissé que nous ne devrions plus être très loin du plancher annuel.

Le marché du porc se redynamise en Allemagne, reste sous pression en Espagne et recule fortement en Italie, tandis que la stabilité domine en France.

Après la chute des prix, le marché porcin européen retrouve peu à peu son équilibre, porté par une reprise des abattages.

L’excédent de porcs en Allemagne tire les prix vers le bas et fragilise l’équilibre du marché porcin européen, notamment en France et en Espagne.

Le coût de construction porcin en France se stabilise : +0,7 % en un an, après plusieurs années de hausse continue.

Le marché porcin européen reste sous pression : stabilité en France, baisse en Allemagne, Espagne et Belgique, tandis que la Chine se stabilise.

En Allemagne, Espagne, Belgique et France, les abattoirs imposent des baisses tandis que la Chine, avec ses droits de douane, accentue la fragilité du marché.

L’Allemagne maintient ses prix, tandis que la France, l’Espagne et le nord de l’Europe subissent la pression des annonces chinoises.

Le marché porcin européen reste fragile : faiblesse de la demande, pression brésilienne et incertitudes sur les droits de douane chinois.

En Europe, les marchés du porc restent globalement équilibrés, sauf en Espagne où la baisse se poursuit. En Chine, l’excédent d’offre continue de peser sur les prix.

Une baisse atypique de plus de 17 centimes en juillet et août, et les prévisions annoncent qu’elle se poursuivra.

Les marchés porcins européens restent stables, tandis que la France confirme et accentue sa baisse cette semaine.

Le 6 décembre 2024, l'accord final d'association entre l'Union européenne (UE) et le MERCOSUR a été signé. Cet accord est considéré comme historique compte tenu de son ampleur, puisqu'il crée un marché de biens et de services d'environ 800 millions de consommateurs et représente un quart du PIB mondial.

Les prix reculent fortement en France et poursuivent leur baisse en Espagne, tandis que l'Allemagne, la Belgique et l’Italie affichent plus de stabilité.

Le MPF recule légèrement en France, mais c’est en Espagne que la baisse est la plus marquée, malgré une offre limitée et des poids réduits.

Les marchés porcins européens peinent à trouver un équilibre entre une offre restreinte, une demande estivale faible et des cotations divergentes selon les pays.

Le marché porcin européen traverse une période tendue : stabilité en Allemagne, crise en Espagne, pression en Belgique et ajustements en Italie.

En France, la cotation du MPF poursuit sa hausse grâce à une offre réduite, tandis que l'Allemagne subit une forte pression sur le prix du porc.

Les prévisions de prix varient clairement selon les continents.