Nous sortons enfin de l'enfer !
Le mois de février s'achève sur une hausse sans gêne du porc. Il n'y a actuellement pas assez de porcs en Espagne pour suivre les taux d'abattage records observés en janvier.
Le mois de février s'achève sur une hausse sans gêne du porc. Il n'y a actuellement pas assez de porcs en Espagne pour suivre les taux d'abattage records observés en janvier.
Les tendances haussières du prix du porc se confirment un peu partout en Europe avec une deuxième semaine de hausses significatives en Europe du Nord.
La majorité des personnes interrogées considèrent l'entrée de la PPA dans le pays comme imminente et une proportion significative la considère comme possible, bien qu'à long terme.
Nous avons demandé à nos utilisateurs quel serait, selon eux, le prix moyen du porc dans leurs pays respectifs en 2021. Voulez-vous savoir qui s'en est le plus rapproché ?
La situation semble se détendre sur les marchés européens avec une réduction de l’offre qui s’accompagne d’une amélioration de la situation sanitaire laissant espérer une reprise du commerce intracommunautaire.
La baisse des offres en Europe soutient les prix du porc, soit dans la stabilité soit vers la hausse comme en Espagne. Par contre, l’Italie subit les conséquences de l’apparition de la fièvre porcine africaine dans le nord du pays en abaissant encore cette semaine ses prix de 3,4 cents du kilo vif.
Les tendances de prix observées sur les marchés de l’offre la dernière semaine de janvier se sont poursuivies la semaine dernière.
Burset suggère une sortie possible de la situation actuelle, avec des prix à 1,30 voire 1,40. Tu veux savoir à quel mois ?
Une année atypique s'achève. Notre analyste Guillem Burset dresse un bilan et fait quelques pronostics pour 2022.
Le mois de janvier est un mois souvent peu propice à une forte demande. L’activité d’abattage semble partout réduite par un manque de personnel dans les entreprises et d’autre part le marché de la viande reste toujours encombré.
Dans le nord de l’Europe, de nombreuses places de cotations ont annoncé des baisses de prix du porc en fin de semaine passée.
Des cotations du porc inchangées sur de nombreuses places européennes à l’exception de l’Italie, confrontée à un premier cas de fièvre porcine africaine.
Sur les marchés du porc en Europe, la nouvelle année débute globalement sur des bases de prix identiques aux semaines précédentes.
En Allemagne le cours moyen de référence 2021 se fixe à 1,34 euro, en baisse de 14% par rapport à 2020, tandis que en Espagne le prix moyen s’élève à 1,253 euro kg/vif, ce qui représente une baisse de 5,9%.
Une grève de cette ampleur ferait chuter le prix du porc à des niveaux historiquement bas.
À l'heure où tout semble aller à contre-courant, il reste l'espoir lié à un coût de production en Chine bien plus élevé qu'en Espagne...
Comment s'articule la demande croissante d'un plus grand bien-être animal dans les élevages ?
La production porcine chinoise a rebondi rapidement et la forte baisse des prix du porc en Chine au 1er semestre 2021 le montre.
Dans cet article, Guillem Burset prédit le moment où le prix du porc espagnol va toucher le fond. Il ose même nous donner un chiffre !
Le mois de septembre montrera dans toute sa dureté la précarité de l'époque actuelle : les porcs arriveront en masse à l'abattoir et il reste à savoir si les abattoirs accepteront de transformer les porcs dont ils ne pourront vendre la viande.
La quasi-absence d'exportations vers la Chine et la faible demande de viande dans l'UE ont entraîné une chute de 17% du prix espagnol en 7 semaines, et qui va se poursuivre.
Pour la première fois en 20 ans, la cotation espagnole a baissé en juin. Nous sommes dans une situation extrêmement exceptionnelle qui devra être corrigée le plus rapidement possible.
Comment les politiques liées à l'environnement et au bien-être animal influenceront-elles le secteur porcin ? Nous présentons un résumé des facteurs potentiellement limitants de la production.
Le prix de la viande de porc en Espagne est le plus cher d'Europe et Burset estime qu'il est très proche de la limite supérieure. La Chine diminue ses importations, achète moins cher et, par conséquent, est absente de notre marché.
Marché du porc : en pleine expansion en Espagne, non concentré en Europe et avec des interrogations en Chine. Marché de la viande de porc : au plus bas en Europe.
Le déficit en porcelets de l’Allemagne pourrait se creuser de 6,3 millions de têtes pour atteindre près de 17 millions de têtes en 2025.
Alors que pour l'Europe des prix inférieurs sont prévus par rapport à ceux des deux années précédentes, les utilisateurs américains prévoient des prix plus élevés tandis que pour la Chine, les prévisions restent entre celles de 2019 et 2020.
Le prix du porc continue d'augmenter et G. Burset nous donne même une prédiction pour le mois de juin. Bien que tout cela semble être une bonne nouvelle pour les éleveurs et les abattoirs, une tempête se prépare dans l'industrie de la transformation.
Il semble que le déficit de la Chine persistera tout au long de l'année et que le flux des exportations de l'Espagne vers le géant asiatique ne faiblira pas ...
Un résumé de la croissance du secteur porcin argentin, en examinant la production, les importations et les exportations. Quelles sont les projections pour le futur ?
L'analyste Guillem Burset passe en revue les principaux marchés porcins européens parmi lesquels se distingue, à contre-courant, le rôle de l'Espagne. Sera-t-elle capable de tenir ?