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sujet technique peut interessant

jmb

entre cooperl et initia la quelle des 2 structures a un avenir pour les producteurs

sity

Jmb,la CAA crée de la valeur ajoutée de part son abattage, transformation,revalorisation par débouché en France et à l'étranger....
Initia,est tout simplement un groupe qui se cherche,sans débouché donc sans valeur ajoutée...
Donc en clair un éleveur au vu du contexte actuelle doit avoir son débouché,bien-sur qu'il ne doit pas vendre à perte comme c'est le cas en se moment et depuis 3 ans,le problème qu'on rencontre est que nous entretenons trop de décideurs et d'incompétents,avec de GROS SALAIRE et tant qu'on aura pas dégraissé le mammouth on s'en sortira pas...

eleveurfauché

GROS SALAIRES ? combien ? avec quel argent?

éleveur valorisé
belle parole,c est dingue tu es fière de te faire plumer par ton groupement,incroyable.tu sais combien gagne ton président et ton chère adoré directeur? comme les gourous ,se sont de bon manipulateurs,je comprend mieux pourquoi les bretnons ne bougent pas

rab

eleveur valorisé
j'ose espérer et j'en suis sure sinon oups!!
tu as un trés bon humour
mais vois tu ,aujourd'hui c'est le désespoir qui l'emporte
mais c'est bien vu

Eleveur valorisé

Mais oui bien sûr, c'était pour rigoler !

Mais vous trouverez tout là:

http://www.cooperl-hunaudaye.fr/fr/filiere/eleveurs.php

Cela ce n'est pas inventé.

Et maintenant deux possibilités:

1: Tout ce qui est écrit est vrai, les éleveurs Cooperl gagnent beaucoup mieux leur vie que les éleveurs des autres groupements et donc ce sont eux qui ont raison et qui vont rester.

2: Tout est bidon et quand les éleveurs se rendront compte qu'ils ne sont pas plus riches que leurs collègues et qu'en plus ils ont perdu toute liberté dans l'exercice de leur métier, alors le système s'écroulera.

Pour l'instant reconnaissons que le système a plutôt bien fonctionné. Mais les temps qui s'annoncent seront difficiles...

http://www.agraalimentation.fr/un-premier-exercice-sous-tension-pour-cooperl-arc-atlantique-art239634-15.html

http://www.editionsduboisbaudry.fr/pm/article.php?action=pa&id=45510

pilou

je pense que ca va etre plus difficile ,depuis le controle menés par plusieurs agents de la DSV dans les usines d'aliments , la saisie de produits illicites,le paiement rapide d'une grosse ammende ,les performances d'engraissement se dégradent a vue d'oeil, plus le prix d'aliments qui n'est pas le mieux placé en bretagne, la supression des primes tout cela augure de temps plus difficile par les eleveurs du meilleurs groupement de france

François

Eleveur valorisé,

je vois que tu es bien rentré dans le moule de la cooperl. Tu as oublié de dire que tu excellais aussi dans la naïveté. Tu es manipulé. Ne crois pas tout ce que ton groupement te dit. Cela est vrai pour toutes les structures mais encore plus à la cooperl. Juste un exemple : la manipulation des GTE.

sity

HA bonnnnn,Pilou???peut tu le prouver???

pilou

non je n'ai pas de preuve juste des infos de gens tres bien informés qui n'ont pas voulu que cela s'ebruite de peur de faire du tort a la production , le controle DSV a eu lieu apres dénonciation d'autres fabricants d'aliments (je dit bien des fabricants) qui ne comprenaient pas les tres bons resultats dans les porcheries de faconnages avec un cout alimentaire imbattable. le controle aurait egalement visé de gros élevages adherent cooperl qui fabriquent leurs aliments.mais peut -etre que des utilisateurs d'aliments cooperl pourrais nous en dire plus?

sity

Pilou,fais un tour sur le site que propose Eleveur valorisé, "la méthode- coue- la pensée- positive et tu comprendras en parti qu'on peut parfois subir" d'avoir raison avant les autres"...

pascal

Economique et Social
De plus en plus de paysans en détresse financière
jeudi 07 janvier 2010

Ils déposent des dossiers pour toucher le RSA, Revenu de solidarité active, car ils ne gagnent plus leur vie sur leurs exploitations.
Quatre cents demandes dans le Finistère, autant dans les Côtes-d'Armor ; 176 dans la Manche et le Calvados ; 126 dans le Morbihan ; 417 dans le Maine-et-Loire... Confrontés à une crise sans précédent, les agriculteurs sont de plus en plus nombreux à déposer des dossiers de RSA (Revenu de solidarité active) auprès des caisses de Mutualité sociale agricole (MSA).

La baisse de 34 % du revenu agricole en 2009 relevée par le ministère de l'Agriculture se traduit dans la réalité quotidienne de milliers de producteurs. « Pour les agriculteurs, entrepreneurs indépendants, demander un RSA est souvent une démarche difficile à effectuer, note Gérard Pelhate, président de la caisse nationale de MSA. Mais, à certains moments, il faut oser faire appel à la solidarité collective pour ne pas plonger et soutenir sa famille. »

Du mal à payer les cotisations

La MSA a travaillé dans l'urgence avec l'assemblée permanente des conseils généraux, chargés de l'attribution du RSA, pour arrêter un mode de calcul des revenus « équitable et sérieux ». C'est désormais chose faite, et les caisses de MSA peuvent instruire les dossiers dans le cadre de conventions signées avec les conseils généraux. Petit bémol du côté syndical, où l'on regrette « des lectures différentes de revenus » d'un département à l'autre.

Autre indice révélateur de l'ampleur de la crise : les plans d'échelonnement de paiements des cotisations MSA. Un millier de dossiers ont été instruits dans les Côtes-d'Armor et 800 dans le Finistère. En 2009, les caisses MSA de l'Hexagone ont puisé 105 millions d'euros dans leurs fonds propres pour financer ces échéanciers.

Les associations d'aides aux agriculteurs en difficulté se retrouvent également en première ligne. « J'ai en charge cinq dossiers de jeunes agriculteurs installés depuis moins de dix ans, ils ont de fortes charges d'investissements qu'ils n'arrivent plus à rembourser », témoigne Joseph Letellier, membre de l'association SOS agriculteurs en difficulté dans la Manche. Président national de Solidarité paysans, Gérard Fiquet parle de la « grande détresse » de certains agriculteurs. Et du besoin, au-delà même des difficultés matérielles, « de parler et de se confier ».

Heureusement, les fournisseurs font encore le tampon. Mais les premiers mois de 2010 risquent d'être terribles si le prix du lait ne remonte pas suffisamment. Même scénario pour le porc, où les producteurs ne voient toujours pas le bout du tunnel.

sity

Et oui Pascal,la prédiction se confirme et beaucoup regardent encore ailleurs mais plus pour longtemps....

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