Nouvelles - Nutrition

La production de maïs et de soja devrait s'élever à environ 103,8 millions de tonnes.

Entre janvier et août, les contrats et transactions finales de soja ont diminué de 44 % par rapport à l'année dernière, et de 50 % par rapport à la moyenne sur six ans.

La récolte atteint 322,8 millions de tonnes, reflétant à la fois une plus grande superficie plantée et une meilleure productivité moyenne.

Depuis le début de l'année, les exportations de tourteaux de soja en provenance du Brésil ont dépassé le volume expédié par l'Argentine.

La projection de la production mondiale de maïs a été réduite de 11 millions de tonnes par rapport au rapport de juillet. Pour le soja, Les estimations de la récolte ont été réduites d'environ 2,5 millions, car la production devrait baisser aux États-Unis.

Les marchés mondiaux de la viande de porc sont influencés par une croissance économique lente, une faible consommation, des épidémies récurrentes et des problèmes de productivité.

Selon l'estimation, ce résultat est principalement dû à la meilleure performance des récoltes de maïs de la deuxième culture observée sur le terrain le mois dernier.

Dans cette nouvelle mise à jour, les projections relatives à la production mondiale de soja ont été revues à la baisse de plus de 5 millions de tonnes par rapport au rapport de juin, en raison d'une réduction des superficies plantées aux États-Unis. Pour le maïs, les estimations sont légèrement plus élevées que dans le rapport précédent.

Ce corridor, qui permet l'exportation de céréales et d'engrais depuis la Russie et l'Ukraine, est de la plus haute importance pour le maintien de la sécurité alimentaire mondiale.

Green Deal : entrée en vigueur de la loi contre la déforestation et la dégradation des forêts causées par la production et la consommation dans l'UE

Selon les données d'Eurostat, la consommation d'engrais dans l'UE a diminué de 2 % en 2021.

Parmi les matières premières utilisées, la moitié sont des céréales dont le volume et la part augmentent légèrement.

Il n'y a pas eu de changements significatifs dans la première mise à jour des estimations des cultures pour le nouveau cycle de cultures 2023/24, son influence sur les prix et le marché en général étant par conséquent quasi nulle.

En mai, les exportations ont atteint 1,3 million de tonnes de céréales et autres denrées alimentaires. C'est moins que la moitié du mois précédent.

En raison de la baisse de la production de soja, les besoins d'importation de matières premières de l'Argentine augmentent afin de maintenir les usines à flot.

Hausse de la production aux États-Unis et au Brésil, rétablissement des niveaux de récolte en Argentine et dans l'Union européenne.

Cette nouvelle extension permettra aux exportations de céréales ukrainiennes de se poursuivre.

Les bons résultats s'expliquent non seulement par l'augmentation de la surface, mais aussi par l'amélioration de la productivité. Cependant, le résultat final dépendra toujours des conditions météorologiques.

C'est dans la filière porcine que la baisse de production a été la plus forte.

Le blé, le maïs, le colza et les graines de tournesol originaires d'Ukraine ne peuvent que transiter par la Bulgarie, la Hongrie, la Pologne, la Roumanie ou la Slovaquie et ne peuvent être stockés sur leur territoire ou achetés pour leur consommation intérieure.

Le bétail, le cacao, le café, l’huile de palme, le soja, le bois, le caoutchouc, le charbon et les produits en papier imprimé sont couverts par les nouvelles règles

À la suite des interdictions temporaires imposées par plusieurs États membres sur l'importation de certains produits agricoles ukrainiens, la CE appelle à une solution commune.

La Pologne, la Hongrie et la Slovaquie ont temporairement interdit les importations de céréales et d'autres produits agricoles en provenance d'Ukraine.