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Le premier foyer du virus du syndrome dysgénésique et respiratoire porcin a été confirmé dans le pays.

Il s'agit du premier cas de peste porcine classique à Kyushu chez des sangliers. L'île de Kyushu abrite environ un tiers des porcs d'élevage du Japon.

Les premières prévisions de la FAO pour la campagne 2024/25 font état d'une situation globalement confortable de l'offre et de la demande mondiales de céréales.

Santa Catarina reste en tête des abattages de porcs, avec 29,8 % du total national, suivi de Paraná (22,3 %) et de Rio Grande do Sul (17,1 %).

La cause exacte de l'apparition de la maladie n'est pas encore claire. Toutefois, rien n'indique actuellement une épidémie active chez les sangliers dans cette région.

L’indice FAO des prix de la viande a légèrement fléchi car les prix internationaux de la viande porcine et de la viande ovine ont augmenté.

Les prix mondiaux à l’exportation de toutes les principales céréales ont augmenté par rapport au mois précédent, surtout le blé.

Au cours des dix dernières années, l'effectif total dans l'UE27 a diminué de 6 %, avec une hausse significative en Espagne et baisse en Allemagne.

Cette législation concrétise un engagement clé du manifeste, à savoir l'interdiction d'exporter des animaux vivants, notamment des bovins, des ovins et des porcins destinés à l'abattage et à l'engraissement depuis la Grande-Bretagne.

Selon les données compilées par la FEFAC, la production industrielle d'aliments composés pour animaux dans l'UE27 devrait diminuer en 2024.

Depuis près de 50 ans, les trois pays ont mis en œuvre des actions visant à préserver la santé des animaux et, par conséquent, des humains, afin d'assurer une alimentation saine et sûre à leurs populations.

La mortalité des porcelets a été réduite de près d'un pour cent.

La modification de la Loi sur la Protection des Animaux comprendra des changements juridiques et d'application dans le domaine du bien-être animal.

Les éleveurs de porcelets peuvent devenir copropriétaires de Danish Crown à partir du 1er juillet.

Une diversification accrue de la production dans l'UE nécessite des terres agricoles disponibles adaptées aux cultures requises.

Les nouveaux droits de douane visent en pratique à mettre un terme aux importations de céréales en provenance de Russie et du Belarus dans l'UE.