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Les prix mondiaux du blé et du maïs ont diminué, tandis que ceux de l’orge et du sorgho ont augmenté.

En 2025, la Russie exportera plus d’un million de tonnes de viande pour une valeur supérieure à 2 milliards de dollars américains.

La reprise partielle du secteur porcin a commencé dans la seconde moitié de 2025 et une augmentation du cheptel est attendue en 2026.

Les exportations brésiliennes de porc atteignent un niveau record en septembre, portées par la forte demande des Philippines et d’autres marchés stratégiques.

Le Parlement européen approuve de nouvelles règles pour renforcer les agriculteurs, rééquilibrer la chaîne agroalimentaire et définir le terme « viande ».

Les principales préoccupations des consommateurs restent les pesticides, les antibiotiques/hormones/stéroïdes dans la viande et les additifs alimentaires.

Cette hausse reflète la progression des prix mondiaux de la viande bovine et ovine, tandis que les cotations de la viande porcine et de volaille sont restées globalement stables.

La commission AGRI adopte sa position pour simplifier la PAC et offrir aux agriculteurs plus de flexibilité et de soutien.

Les ministres de l’Agriculture de l’UE ont débattu de la future PAC, des accords commerciaux et de la santé animale lors du Conseil AGRI de septembre.

Il y a eu un effet hautement significatif du statut sanitaire vis-à-vis du SDRP sur la médiane de la consommation d’antibiotiques au niveau de l’élevage.

L’Office fédéral de la concurrence a approuvé le projet de Tönnies International Management GmbH d’acquérir The Family Butchers Group.

La Russie et la Chine ont convenu d’élargir la liste des fournisseurs russes de viande de porc et de bœuf, ainsi que d’augmenter la gamme de produits autorisés à l’exportation.

La FAO annonce une série d’initiatives suite à la conférence mondiale sur l’élevage.

253 millions d'euros pour la recherche et l'innovation contre la résistance aux antimicrobiens.

Les exportations agroalimentaires de l’UE sont restées stables en juin, avec une légère baisse par rapport à mai, mais toujours supérieures aux niveaux de 2024.

L'accord réduit les droits de douane sur les produits agroalimentaires et protège les produits traditionnels de l'UE, ainsi que les secteurs industriels clés.