Marchés du porc vivant en Europe : Demande atone pour des offres en forte baisse
Des cours inchangés ou en légère hausse, offres faibles et températures caniculaires qui ralentissent la croissance des animaux.
Des cours inchangés ou en légère hausse, offres faibles et températures caniculaires qui ralentissent la croissance des animaux.
Les tendances habituellement observées au début de juillet au nord comme au sud de l’Europe, sont présentes à nouveau ce début d’été avec des cours plutôt stables au nord de l’Europe et en hausse dans le sud.
Les baisses de l’offre ne se traduisent plus systématiquement par des hausses de cours sur le marché du porc vivant.
Guillem Burset analyse la situation actuelle de la filière porcine espagnole sur le marché européen et mondial et nous donne des indices sur ce qui est à prévoir pour 2023.
Un large mouvement de hausse s’est opéré la semaine dernière sur les marchés européens du porc vivant.
L’épidémie PPA est de nouveau aux portes de la France. La question de l’export est au coeur des enjeux économiques liés à cette maladie.
Les semaines se suivent et se ressemblent plus ou moins puisque aucune évolution significative n’est venue ébranler le marché porcin depuis près de 2 mois.
Malgré un niveau d’offres relativement faible, il correspond dans l’ensemble aux besoins limités des abattoirs.
La faiblesse de l’offre s’accentue partout mais sans déclencher de hausses de prix du porc significatives tant la demande en viande reste insuffisante.
Après plusieurs semaines de prix stables en raison de la lutte entre abatteurs et éleveurs, le prix espagnol du porc a finalement augmenté hier. Guillem Burset fait ses pronostics sur ce qui va se passer à partir de maintenant.
Malgré les légères impulsions au commerce de la viande du week-end prolongé de l’Ascension et de favoriser les ventes de produits de saison, cela reste totalement insuffisant au regard des volumes de viande encore présents sur le marché.
Peu d’évolution sur les marchés du porc vivant en Europe cette fin de semaine dernière.
Le traditionnel creux de production au printemps et à l’été ne profite plus aux producteurs car la consommation, habituellement renforcée dès le début du printemps, est à l’arrêt, fortement impactée par une inflation croissante.
Le marché porcin, au début de ce mois de mai en Europe (et dans la monde), est dominé par une faible demande de viande, une consommation plombée par l’inflation galopante qui déterminent actuellement l’orientation des cours du porc.
Guillem Burset analyse la situation actuelle du marché européen du porc, qui entre en territoire inconnu : flambée des prix, exportations enrayées, matières premières et énergie qui s'envolent, manque de porcs...
Voici les prévisions de nos utilisateurs concernant le prix moyen du porc à l'abattage pour 2022. Nous avons reçu 831 réponses provenant de 62 pays.