L'UE montre des résultats positifs pour l'offre de céréales et d'oléagineux
Alors que la récolte de céréales, notamment l'orge et le maïs, devrait diminuer, celle des oléagineux devrait augmenter.
Alors que la récolte de céréales, notamment l'orge et le maïs, devrait diminuer, celle des oléagineux devrait augmenter.
Les cours internationaux du blé se sont appréciés pour le quatrième mois consécutif. Les prix des huiles de palme, de tournesol, de soja et de colza ont baissé.
Malgré un niveau d’offres relativement faible, il correspond dans l’ensemble aux besoins limités des abattoirs.
La faiblesse de l’offre s’accentue partout mais sans déclencher de hausses de prix du porc significatives tant la demande en viande reste insuffisante.
Malgré les légères impulsions au commerce de la viande du week-end prolongé de l’Ascension et de favoriser les ventes de produits de saison, cela reste totalement insuffisant au regard des volumes de viande encore présents sur le marché.
Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, ouvre un premier dispositif d’aides pour l’alimentation animale doté de 308,5 millions d'euros.
La propagation des maladies animales et la poursuite de la reprise du marché mondial des céréales, alimentée par la réinvasion russe en Ukraine, devraient réduire la demande d'aliments composés pour animaux de 4 à 5 millions de tonnes en 2022.
Un montant forfaitaire unique aux agriculteurs et aux entreprises agroalimentaires touchés par des augmentations significatives des coûts des intrants.
Peu d’évolution sur les marchés du porc vivant en Europe cette fin de semaine dernière.
Le traditionnel creux de production au printemps et à l’été ne profite plus aux producteurs car la consommation, habituellement renforcée dès le début du printemps, est à l’arrêt, fortement impactée par une inflation croissante.
Le marché porcin, au début de ce mois de mai en Europe (et dans la monde), est dominé par une faible demande de viande, une consommation plombée par l’inflation galopante qui déterminent actuellement l’orientation des cours du porc.
Après avoir grimpé jusqu’à un niveau record en mars, les prix internationaux des céréales et des huiles végétales ont baissé en avril.
La hausse des prix des aliments pour animaux et de l'énergie rend la situation difficile...
Dans le contexte de la Covid-19, le Ministère de l’Agriculture a décidé de mettre en place, pour les élevages de porcins, le « volet 2 », un dispositif de prise en charge des pertes calculée sur la base de forfaits.
Peu de changement sur les différentes places de cotation en Europe à l’issue des fêtes Pascales qui ont permis aux abattoirs de disposer de suffisamment de porcs face à une demande jugée encore décevante.
En 2021, le prix des intrants agricoles augmente de 10,1 %. C’est la plus forte hausse annuelle depuis 2011.