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Selon le Ministère de l'Agriculture et des Affaires Rurales, la Chine progresse dans la reprise de la production porcine.

Le président Trump a signé un décret exécutif pour assurer l'approvisionnement continu en viande de bœuf, porc et volaille, obligeant les usines de transformation à rester ouvertes.

L'entreprise ferme deux centres affectant 5.000 travailleurs dans l'Iowa et l'Indiana pour assurer la sécurité des membres de l'équipe durant la pandémie de COVID-19.

Des stocks mondiaux abondants, une récolte 2019/2020 importante dans l'UE et de bonnes perspectives dans les Amériques pour la prochaine récolte devraient permettre un approvisionnement satisfaisant du marché dans les prochains mois.

Malgré des prix élevés, la croissance de la production de viande porcine sera limitée par les restrictions environnementales et le risque de PPA toujours présent. En raison du Covid-19, le transport d'animaux vivants pourrait être restreint.

En seulement 3 mois, 4.776 foyers de PPA chez des sangliers ont été notifiés à l'ADNS, représentant plus de la moitié du total des foyers survenus en 2019.

Le Land de Saxe renforce ses mesures de prévention contre la PPA, en appliquant une nouvelle réglementation entrée en vigueur le 16 avril 2020.

Les exportations en volume de la France ont progressé très fortement en 2019 (+ 60 000 tec, soit une hausse de 9,4 %) et devraient avoisiner les 702 000 tec.

Avec un total de 57 entreprises agréées, l'Espagne est le premier exportateur mondial de produits de viande et produits porcins vers la Chine.

Tous les États-membres attendent de l’Union une réponse urgente, forte, à la hauteur de ce que doit être une politique agricole commune protectrice de son agriculture et de son alimentation.

Quel serait l'impact de la peste porcine africaine (PPA) sur l’économie des États-Unis ?