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VENTE AU MPB

sity

61 01-Aoû-2010 11:36 (il y a 13 ans 8 mois 25 jours)

Pino,un certain Brice Lalond, Ministre de l'environnement de 1988à1992,donnait déjà à l'époque une idée,son idée de l'élevage porcin du futur.

Il préferait voir des élevages de milles truies et la suite avec station au cul,que dix élevages de 100 truies à épandre leurs merdes partout et n'importe comment en campagne c'était son opinion,que voyons nous aujourd'hui, un constat d'il y a 20 ans qui deviens réalité, la moral est que nous devons jamais oublier se que raconte nos polititiens quelqu'ils soit, la moindre parole,meme si elle parait tordue elle pourait aussi devenir réalité et il y en plein d'autre...
samson

62 04-Aoû-2010 16:24 (il y a 13 ans 8 mois 22 jours)

Un bon rapport de force ,c'est au moins 70% de la production présentée au marché . En dehors de cela le marché devient de l'ajustement pour l'appro des abattoirs.
On sait tous qu'au mieux il pourrait y avoir 25 % de porcs présentés ,cela ne changera strictement rien à ce qui se passe à ce jour.Le marché fonctionnera ,comme aujoud'hui,et les abattoirs viendront faire leur ajustement en appro .
On peut toujours causer sur l'intimidation,stratégie,bluff....ce n'est que du pipo,les abattoirs s'entendront toujours entre eux,sauf , de temps en temps , certains qui tenteront des "prix "(en millième de centimes) de façade pour avoir la paix sachant qu'ils achèteront l'ensemble de leur besoin au même prix que les autres.
Le plus important groupement n'est pas présent en temps que vendeur au marché ,on peut toujours siffler ,le changement n'est pas pour demain et le marché continuera comme il est....
Bonne fin d'été,une petite reprise,comme à son habitude en septembre pour la rentrée et après beaucoup de discussions,réunions......pour expliquer la chute.


sity

63 05-Aoû-2010 13:47 (il y a 13 ans 8 mois 21 jours)

1,203 EURO (+ 0,2 CENT) L'offre du jour était plus fournie que celle du jeudi précédent compte tenu notamment des invendus de lundi passé. L'activité de la semaine semble un peu meilleure quoique les poids carcasse restent stables. L'offre momentanément semble très proche de la demande des abattoirs, d'où ce cours relativement stable A l'exception de quelques lots, tout a été vendu, ce qui permettra une situation plus fluide pour les marchés de la semaine prochaine. A l'étranger, les tendances sont annoncées stables.




©2010 Marché du Porc Breton

MPB le marché des folles tordues...





sity sity

64 21-Mai-2011 13:25 (il y a 12 ans 11 mois 5 jours)


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Trop de porcs en Allemagne, qui ne parvient pas à digérer son augmentation de production, et trop de viandes en Europe, qui manque de débouchés face au dumping allemand: le marché est décontenancé dans une ambiance de désappointement où producteurs et abatteurs se retrouvent désemparés face à des résultats particulièrement décevants. Contrairement aux prévisions attendues pour mai, totale déconvenue, tous les indicateurs européens sont à la baisse. En dépit de disponibilité modérée en élevage, le marché français est momentanément dans l'impasse, incapable de résister à la concurrence étrangère. De plus, la forte pression sur les prix imposés par le secteur de la salaisonnerie sur le marché intérieur des viandes compromet sévèrement l'orientation de la semaine à venir.

Nouveaux tassements

Face à une telle morosité ambiante du commerce, les prochaines fixations de cours ne pourront échapper à de nouveaux tassements. En revanche, par la suite, avec l'approche du début juin et les deux grands week-ends de l'Ascension et de la Pentecôte, si les conditions climatiques sont favorables à une meilleure consommation, le contexte commercial pourrait alors d'autant mieux se ressaisir que d'ici-là par l'accroissement de ses ventes extérieures, le marché allemand aura retrouvé une fluidité d'écoulement pour sa production.

Recul de 4,8 centimes

Baisse de 1,3 puis de 3,5 centimes. La cotation redescend à 1,357 euro, base 56 TMP. En dépit de quelques jours chômés, l'activité du secteur de l'abattage se maintient autour de 378.000 porcs, pour un poids moyen de carcasses à 91,800kg (- 100 grammes), signe d'une offre modérée mais suffisante pour couvrir les besoins limités d'une demande amoindrie par les très mauvais résultats du commerce des viandes et d'une consommation encore peu affirmée, en particulier sur les produits élaborés de saison. Forte baisse sur les pièces nobles de découpe, recul de l'ordre de 8 centimes sur le jambon et de 5 centimes sur l'épaule et la longe. Tarifs sensiblement reconduits sur les autres morceaux. Faute de suffisamment de ventes en produit de charcuterie, les activités de la salaisonnerie sont limitées, d'où des achats moindres. Les découpeurs peinent à écouler leurs marchandises, y compris vers l'Italie, où, malgré un différentiel de prix de 15 à 20 centimes sur le jambon, la marchandise étrangère est encore moins chère.

Nouvelle baisse allemande de 4 centimes

Après avoir chuté de 8 centimes la semaine passée, le cours allemand baisse à nouveau de 4 centimes, a priori la dernière. Dans un marché très encombré et une demande intérieure moindre, cette recherche de compétitivité devrait élargir les débouchés sur tous les pays de l'Est, et en particulier vers la Russie, au moment des sorties du stockage privé. Dès lundi, cette baisse sera suivie par les Pays-Bas, la Belgique et l'Autriche. La cotation espagnole fléchit de 2 centimes, la danoise s'est maintenue. Baisse de 5 centimes sur le marché des viandes anglais. En cette fin de semaine, la cotation espagnole est 9 centimes au-dessus de la française qui devance l'allemande de 10 centimes et l'acompte danois de 12 centimes. Très peu de ventes de viandes françaises dans les pays de l'Union, tous les pays de l'Est, l'Italie et la Grèce s'approvisionnent dans les pays du nord où la marchandise est moins chère.

Jean-Noël Guégan

Avec des commentaires pareil ont peut crever en silence...
marchesnel

65 29-Sep-2011 22:25 (il y a 12 ans 6 mois 28 jours)

Du nouveau au MBP pour fin novembre ; contrat à livraison différée.

Daniel Picart, le président du Marché du porc breton (MPB), et Jean-Pierre Joly, son directeur, ont annonce jeudi lors d'une conférence de presse à Plérin (Cotes-d'Armor), la mise en place à la fin de novembre d'un nouvel outil au MPB : le contrat à livraison différée.

 

Ce contrat engagera un éleveur, son groupement de producteur et l'abatteur qui achètera ses porcs aux enchères montantes. Autrement dit, les éleveurs pourront mettre en vente des porcs des leur entrée en engraissement. Il s'agit d'un marché physique et non virtuel.

 

Les producteurs s'engageront sur le nombre d'animaux et la date de livraison. Ils les proposeront à un prix objectif qu'ils fixeront eux-mêmes. Ensuite, les lots de porcs seront proposés aux abatteurs qui ne connaîtront pas le prix objectif de l'éleveur. La vente aura lieu une fois par semaine. L'abatteur qui remportera le lot sera celui qui en aura proposé le meilleur prix, et aura au moins atteint le prix objectif de l'éleveur.

 

Pour l'instant, un seul abatteur a manifesté son intérêt pour le système. Mais tous sont venus à la dernière réunion d'information. « Mais les abatteurs chassent en meute, souligne Daniel Picart. On démarrera même avec un seul abattoir. Si on ne propose rien, on n'aura rien ! »

 

Les organisateurs du MPB estiment que cette nouvelle possibilité offerte ne devrait pas empiéter sur le marché spot actuel. « Il est grand temps que les producteurs se réapproprient la vente de leurs animaux, insiste Daniel Picart. Mais ce dispositif ne prendra de l'importance que s'il va jusqu'au bout de la chaîne. » C'est-à-dire si les maillons d'aval assurent leur marge de la même façon.

 

E.R.

 

marchesnel

66 30-Sep-2011 12:30 (il y a 12 ans 6 mois 27 jours)

Vous pouvez suivre le commentaire de Daniel Picard sur le site de l'APLI a revue de presse.

Marché du porc - Le Mpb propose un nouveau contrat pour répondre à la volatilité des matières premières
( Publié le 29/09/2011 à 18h44 )
A Plérin, ce 29 septembre 2011, Daniel Picart, président du Marché du porc breton (Mpb)a annoncé l'évolution des techniques de vente pour permettre aux vendeurs comme aux acheteurs d'anticiper et de limiter les effets de la volatilité des matières premières.
Le président du mpb propose ainsi de mettre en place « une couverture de marge aux éleveurs par la vente à la livraison différée ». Une solution déjà abordée par la Fédération nationale porcine dans le cadre de son assemblée générale de juin 2011.
« La couverture de marge aux éleveurs par la vente à la livraison différée, est un contrat qui prend effet à une date spécifiée dans le futur. L’acheteur et le vendeur se mettent d’accord à l’avance sur le prix, la quantité et la date de livraison » explique Daniel Picart, président du Marché du porc breton (Mpb). « L’impact de la volatilité des matières premières sera ainsi limité parce que les acteurs vont pouvoir se couvrir sur leurs matières premières comme ils vont pouvoir se couvrir sur le prix de vente de leur cochon. »

Ainsi, le Mpb proposera, cet automne, un marché à livraisons différées de 4 à 18 semaines maximum. Ce mode de commercialisation consistera, pour le vendeur, à livrer des porcs à un prix pré-déterminé selon un contrat conclu, et pour l'acheteur, à payer les animaux après leur livraison.

Cet accord est authentifié par un contrat (exemple type à télécharger en cliquant sur : contrat du Mpb sur la vente à la livraison différée).

Plus d'informations sur le fonctionnement de ce nouveau contrat, dans l'interview téléphonique de Daniel Picart, ci dessous et aussi en cliquant sur fonctionnement de la  couverture de marge aux éleveurs par la vente à la livraison différée.

« Le Mpb fait bouger les choses »
« C’est une bonne démarche, explique Jean-Michel Serres président de la Fnp. C’est une solution supplémentaire pour les éleveurs. J’espère maintenant que tous les acteurs joueront le jeu. Les éleveurs seront partants, mais pour les autres acteurs, je ne peux pas préjuger de leur comportement. Nous verrons bien d’ici la fin de l’année ».

Pour plus de visibilité sur les marchés

Dans un récent communiqué de presse la société de conseil en gestion du risque prix Oda a annoncé qu’elle publierait une analyse « engagée du marché du porc ainsi qu’une vision indépendante de l’évolution de ce marché » dans sa lettre mensuelle « Analyses & stratégies procines ». « A moyen terme, nous espérons qu’elle deviendra un outil indispensable de la gestion du risque prix dans les élevages, avec le développement d’outils de couverture qui permettront aux éleveurs de fixer le prix de vente du porc et leur marge, avec un prix d’aliment déjà connu » explique Mathieu Pacton, consultant en charge de la filière porc.

Pour le président de la Fnp, le Mbp est un « bon appui » pour faire évoluer le système de commercialisation des porcs. « Le 8 juin dernier nous avions déjà abordé cette solution durant notre Assemblée générale à Paris, avec l’exemple du groupement de producteur Syproporcs, qui a déjà mis en place ce système de couverture avec les magasins Leclerc. En l’élargissant à tous les opérateurs, le Mpb fait bouger les choses. »
Par contre Jean-Michel Serres regrette que l’accord du 3 mai sur la répercussion des prix des matières premières « ne marche pas ! Il n’y a pas de changement ». Un constat largement partagé par Daniel Picart, président du Mpb qui estime aujourd’hui qu’il y a « ceux qui pensent et ceux qui font ».

 

Source : Terre-net Média
 

Amont . Eleveur Amont . France 1 Suiveurs

67 01-Oct-2011 12:29 (il y a 12 ans 6 mois 25 jours)

utilisateur du MLD (par Syproporcs) depuis mars  2011 je ne peux que me réjouir qu'enfin le MPB s'y investisse !

j'espère que beaucoup d'éleveur de différentes structures s'y essaieront et que plusieurs abatteurs y répondront ! Plus il y aura d'acteurs, plus les prix MLD pourront être intéressants et justes, et plus le marché spot s'en retrouvera décoincé...

marchesnel

68 08-Oct-2011 12:33 (il y a 12 ans 6 mois 18 jours)

Etranglés par les prix, les éleveurs de porc lancent un marché à terme
Le Marché du porc breton (MPB) de Plérin (Côtes-d'Armor), qui fixe le prix de référence du porc en France, lancera à la fin novembre un « marché à livraison différée » permettant aux producteurs de s'assurer un prix à terme, ont annoncé ses dirigeants.

Ce nouveau marché doit permettre aux éleveurs de mieux sécuriser leurs marges et, plus généralement, de reprendre l'initiative dans la fixation des prix, ont expliqué à Plérin le président du MPB, Daniel Picart, producteur de porcs à Plouigneau (Finistère), et Jean-Pierre Joly, directeur du MPB.

« Les projets de contractualisation ne portent que sur des volumes et des index de prix, alors que nous allons proposer un volume et un prix », a expliqué Daniel Picart. Les prix seront fixés pour des porcs livrables à une échéance de un à quatre mois, selon les promoteurs du projet.

Environ 14% des porcs français sont commercialisés via ce marché, un chiffre que ses responsables jugent insuffisant et veulent faire croître, pour éviter la dispersion des producteurs face à leurs puissants acheteurs.

marchesnel

69 09-Oct-2011 22:11 (il y a 12 ans 6 mois 17 jours)

La filière porcine bretonne fragilisée
  
La  hausse de 1,4 cent d’euro, acquise « au bouton »  jeudi 29 septembre par les vendeurs a mis un peu de baume au cœur des défenseurs du MPB (Marché du Porc Breton). Il est vrai que ces derniers mois, ils ont rarement eu la main. Cette séance atteste que l’outil reste surtout réactif aux règles basiques de l’offre et de la demande. Si le MPB n’est pas un acteur économique en tant que tel, de par sa position il a toujours constitué un point de fixation dans les moments délicats. Bientôt 40 ans qu’il joue ce rôle de thermomètre de la conjoncture porcine. Son fonctionnement a parfois été perturbé. Mais finalement, quand bien même, certains ont pu émettre des doutes sur sa pertinence, quelle que soit la position dans la filière, il a pour le moment paru à tous trop risqué de le mettre en péril et de s’en écarter totalement. Ce serait d’abord la garantie de retomber dans une certaine opacité.

 

La transparence assurée


Le MPB occupe de fait une position centrale dans la filière, position partagée avec Uniporc Ouest. Deux outils indissociables. Car au-delà de la cotation, c’est l’assurance que les critères de paiement sont les mêmes pour tous. Ils sont en fait les garants d’une certaine équité entre producteurs, entre groupements ou entre abattoirs. Comparée au secteur bovin, la transparence des transactions en porc est aujourd’hui encore exemplaire. Pour autant, le MPB n’est pas un outil miracle. Ceux qui le pratiquent régulièrement le savent. On lui a trop souvent prêté des pouvoirs qu’il n’a pas. « Il ne peut imposer un prix déconnecté des réalités du marché, ni inverser une tendance franchement mauvaise ». Le prix reste la résultante de la confrontation d’une offre et d’une demande à un instant donné en tenant compte des paramètres de fluidité, des marchés concurrents, de la pression plus ou moins forte de l’aval. C’est néanmoins une référence majeure en Europe qui n’a rien à envier aux systèmes en vigueur dans les autres  bassins de production, qui ne sont pas pour la plupart des marchés physiques. Son point de faiblesse reste de ne voir passer que 18 % des porcs (68 000 porcs par semaine), ce qui ne lui donne pas toujours le poids suffisant pour peser dans les moments importants. Les récentes tentatives d’attirer plus de porcs au catalogue n’ont pas eu les résultats escomptés. Les liens directs entre certains groupements et des abatteurs, parfois très étroits, n’encouragent pas à renforcer cette représentativité : une responsabilité individuelle et collective des éleveurs.

Manque de lisibilité


Mais plus que l’outil MPB, c’est le contexte qui a évolué fortement. Historiquement, le prix de marché bien que fluctuant ne s’éloignait pas durablement du coût de production. Celui-ci était quasi stable. Par ailleurs, les crises se réglaient par un rééquilibrage offre/demande au bout de quelques mois. Les cycles sont devenus nettement plus longs. Il y a peu de « petits éleveurs », peu de « production porcine secondaire ». Structurellement, le système est donc beaucoup moins souple. Dans le secteur aval, la fragilité de certains acteurs n’est plus un secret. Les écarts de compétitivité avec les concurrents européens, les assauts d’opérateurs étrangers notamment auprès de la salaisonnerie et les relations avec la distribution inquiètent et sèment le doute. La concentration des outils s’est amorcée et devrait encore évoluer rapidement. Sans doute inéluctable, elle comporte aussi le risque d’affaiblir le poids des producteurs ou de leurs représentants. L’exemple de la filière viande bovine l’illustre là aussi. Aujourd’hui, la capacité de résistance de nombreux éleveurs semble cependant avoir atteint ses limites. Les gains de productivité qui ont permis à la plupart de passer les caps difficiles ne suffisent plus. Se profile rapidement la mise aux normes bien-être alors que le parc bâtiment est jugé vieillissant. Le prix des matières premières est annoncé durablement élevé. Le manque de lisibilité est évident. Rapidement, c’est toute la filière bretonne qui pourrait en subir les conséquences, si elle n’est pas capable d’assurer à ses producteurs les moyens de pérenniser leur activité. Pierre Dénès


 

marchesnel

70 10-Jan-2012 12:54 (il y a 12 ans 3 mois 16 jours)

baisse de 9cts en allemagne en voilà les concéquenses en France .

Effondrement du prix du porc en Allemagne

Le prix du porc en Allemagne a chuté de 9 centimes d'euros vendredi 6 janvier.


Selon le MPB (Marché du porc breton), « l'abondance d'offres donne toutes les cartes aux abattoirs pour disposer

du prix qui leur convient ».


De fait, depuis une dizaine d'années, les activités d'engraissement en Allemagne (premier producteur de porc en

Europe) ne cessent de progresser.



Depuis trois ans, le pays est excédentaire et dépend des marchés extérieurs.

 

Cependant, selon une étude du MPB publiée le 9 janvier, « les marchés du nord de l'Europe sont momentanément

dépressifs car très dépendants des exportations Pays tiers ».


Les outils d'abattage allemands sont saturés car les

débouchés à l'export sont moins favorables aux producteurs du bassin nord européen (Allemagne, Danemark).

En amont , l'offre restant abondante, les outils d'abattage allemands négocient les prix à la baisse pour reconstituer

leurs stocks en attendant une conjoncture plus favorable à l'export.


Le MPB assure que « l'euro, très favorable par

rapport au dollar, doit relancer dans les prochaines semaines les volumes à l'exportation ».

 

marchesnel

71 09-Fév-2012 16:56 (il y a 12 ans 2 mois 17 jours)

Pour avoir un prix rémunérateur : une régulation des productions s'imposent .

La preuve .

1,394 EURO (+ 2,6 CENTS)… L'activité des abattoirs est réduite cette semaine, faute d'offres disponibles. Les poids carcasse baissent de 300 g.. La séance du jour s'est animée au fil des transactions comme en témoigne la fourchette de prix : de 1,355 euro à 1,431 euro. Incontestablement l'offre fait le prix. La demande profite du temps froid. Les marchés étrangers seront observés avec la plus grande attention. Le cours espagnol devrait monter fort, le cours allemand est moins dynamique. En cette période de l'année, le cours M.P.B. joue le rôle de leader dans l'U.E.. C'est encore le cas avec la hausse du jour.suite...
 

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