Normalisation des hausses des prix du porc
La tendance haussière sur le marché du porc vivant se poursuit, bien que de façon plus mesurée chaque semaine, en particulier dans le nord de l’Europe.
La tendance haussière sur le marché du porc vivant se poursuit, bien que de façon plus mesurée chaque semaine, en particulier dans le nord de l’Europe.
La faiblesse de l’offre soutient toujours les prix du porc sur les places de cotation en Europe.
Cette brève apporte un éclairage sur l’importance de la Russie et de l’Ukraine comme fournisseurs d’intrants pour les filières animales.
Ces hausses de cours sont nécessaires à la survie d’une filière très impactée par de longs mois de prix bas et de coûts de production élevés.
De nouvelles hausses record du prix du porc ont été enregistrées la semaine passée dans le nord de l’Europe.
L’arrivée de la PPA aurait des conséquences économiques importantes. La fermeture des marchés asiatiques modifierait les flux du commerce.
Hausse inédite de 18 centimes de la référence officielle allemande. D’autres grands bassins de production ont suivi cette tendance haussière.
Les tendances haussières du prix du porc se confirment un peu partout en Europe avec une deuxième semaine de hausses significatives en Europe du Nord.
Le mois de février s'achève sur une hausse sans gêne du porc. Il n'y a actuellement pas assez de porcs en Espagne pour suivre les taux d'abattage records observés en janvier.
La majorité des personnes interrogées considèrent l'entrée de la PPA dans le pays comme imminente et une proportion significative la considère comme possible, bien qu'à long terme.
La situation semble se détendre sur les marchés européens avec une réduction de l’offre qui s’accompagne d’une amélioration de la situation sanitaire laissant espérer une reprise du commerce intracommunautaire.
La baisse des offres en Europe soutient les prix du porc, soit dans la stabilité soit vers la hausse comme en Espagne. Par contre, l’Italie subit les conséquences de l’apparition de la fièvre porcine africaine dans le nord du pays en abaissant encore cette semaine ses prix de 3,4 cents du kilo vif.
Les tendances de prix observées sur les marchés de l’offre la dernière semaine de janvier se sont poursuivies la semaine dernière.
Le mois de janvier est un mois souvent peu propice à une forte demande. L’activité d’abattage semble partout réduite par un manque de personnel dans les entreprises et d’autre part le marché de la viande reste toujours encombré.
Burset suggère une sortie possible de la situation actuelle, avec des prix à 1,30 voire 1,40. Tu veux savoir à quel mois ?
Dans le nord de l’Europe, de nombreuses places de cotations ont annoncé des baisses de prix du porc en fin de semaine passée.