Cours du porc en baisse du fait de la faible demande chinoise
La Chine est un déterminant du marché mondial du porc. La réduction des possibilités d’exportation vers la Chine est à l’origine de déséquilibres sur le marché de la viande en Europe.
La Chine est un déterminant du marché mondial du porc. La réduction des possibilités d’exportation vers la Chine est à l’origine de déséquilibres sur le marché de la viande en Europe.
Les situations de marché en Europe sont assez semblables à celles des semaines précédentes. Les perspectives pour les semaines à venir peinent à être optimistes.
Les tendances de prix restent orientées majoritairement à la baisse sur la plupart des places de cotations européennes dans un contexte similaire aux semaines passées.
La forte tendance baissière apparue en Europe du Nord s’est étendue plus largement la semaine dernière sur l’ensemble de l’Europe.
Des perspectives de marché serrées pour les oléagineux sont attendues pour 2020/21 et les stocks de céréales secondaires devraient tomber en dessous des niveaux d'ouverture pour la quatrième saison consécutive.
La production mondiale de viande devrait augmenter, malgré les défis auxquels sont confrontées les chaînes de valeur, et le commerce mondial de la viande devrait stagner.
Principaux résultats publiés par la Commission européenne dans le rapport mensuel sur le commerce de janvier à février 2021.
La peste porcine africaine a été détectée dans un lot de 980 porcs vivants importés de Thaïlande pendant la période de quarantaine.
Le déficit en porcelets de l’Allemagne pourrait se creuser de 6,3 millions de têtes pour atteindre près de 17 millions de têtes en 2025.
Après le rejet d'un décret abaissant les droits de douane sur la viande de porc, un compromis réduit les avantages de l'accès au marché.
Un regain de demande lié à l’assouplissement progressif des restrictions, associé à la faiblesse des offres ont conduit à des hausses de cours du porc dans un grand nombre de pays en Europe cette semaine.
Reprise timide au nord de l’Europe, situation très incertaine en Belgique, hausse de prix porcs en Espagne, léger mieux sur le marché italien et prix moyen de base aux Etats‐Unis qui continue sa progression.
La grande inertie des cours du porc en Europe du Nord conditionne actuellement l’évolution de la plupart des autres marchés en Europe à la veille d’une semaine dont l’activité sera réduite en raison du jeudi de l’Ascension.
Les importations espagnoles de porcelets en provenance des Pays-Bas au cours de ce premier trimestre représentent une hausse de 66% par rapport à la même période de l'année dernière.
Les marchés européens du porc vivant continuent d’évoluer au gré de leur situation particulière : en Allemagne, après la chute la semaine précédente, le marché paraît s’équilibrer, en France une nouvelle hausse maximum a été enregistrée le lundi...
Allemagne a perdu 8 centimes, l'Espagne se mantient stable, France avec une hausse de 6 cents. et aux Etats-Unis la hausse du prix du porc ne semble pas avoir de fin.