Principales co-infections du système respiratoire du porc
M. hyopneumoniae participe à la plupart des co-infections dans les cas de complexe respiratoire porcin. Comment agit-il et quels effets a-t-il ?
M. hyopneumoniae participe à la plupart des co-infections dans les cas de complexe respiratoire porcin. Comment agit-il et quels effets a-t-il ?
Cet article analyse les différentes lésions micro et macroscopiques causées par le virus du SDRP, le PCV2, le virus de la grippe porcine et le coronavirus respiratoire porcin.
Le coronavirus COVID-19 est passé au premier plan ces dernières semaines. Dans cet article, nous passons en revue les différentes maladies que les virus de cette famille provoquent chez les porcs, en rappelant qu'aucune infection humaine par le coronavirus porcin n'a été signalée.
Les pertes économiques associées avec M. hyopneumoniae seul ou en combinaison avec le SDRP font partie des quatre défis sanitaires avec les plus grandes pertes économiques dans la population étudiée.
L'échantillonnage transversal (différents groupes d'âge pendant une visite d'élevage) a l'avantage de donner des résultats rapides.
L'impact économique de M. hyopneumoniae est très influencé par la conduite et les conditions de l'élevage.
Il s'agit de virus ubiquistes qui peuvent potentialiser des complexes comme le PCVD ou le CRP.
La prévalence de la pleurésie est étonnamment élevée sur les porcs à l'abattoir. Une récente étude a montré des données de 12,5 % au Royaume-Uni, 26 % en Espagne et jusqu'à 41 % sur des porcs individuels dans une étude norvégienne.