La faiblesse de la demande entraîne les prix du porc vers le bas
La faiblesse de la demande entraîne les prix du porc vers le bas malgré des offres, certes en augmentation, mais dont les niveaux demeurent toujours sous ceux des années antérieures.
La faiblesse de la demande entraîne les prix du porc vers le bas malgré des offres, certes en augmentation, mais dont les niveaux demeurent toujours sous ceux des années antérieures.
La collecte de données à l'abattoir est une méthode courante pour obtenir des informations sur la santé et la productivité, principalement sur les dernières semaines de la vie du porc.
Partout en Europe, les abattoirs font pression pour baisser le prix du porc avec cependant plus ou moins de résultat en raison du faible niveau des offres qui freine ce mouvement baissier.
L’interdiction de castration à vif des porcs en vigueur depuis le 1er janvier 2022, a conduit au développement de la production de porcs mâles entiers. La principale difficulté de ce type de production réside dans le risque d’apparition d’odeurs désagréables de la viande issue de ces animaux.
Les exportations de produits agroalimentaires et de pêche ont atteint un niveau record de 68,018 milliards d'euros en 2022, soit une hausse de 13,1 % par rapport à 2021.
Les abattoirs devront être équipés d'un système de vidéosurveillance permettant d'effectuer des contrôles supplémentaires sur le bien-être des animaux, en plus de ceux déjà réalisés dans ces établissements.
Alors que la fin du mois d’août est proche, les congés se terminent et tous les secteurs reprennent petit à petit leur activité. Pour les marchés du porc en Europe, cela se traduit différemment selon les zones géographiques. Globalement, dans le Nord, le retour des vacanciers, la réouverture des collectivités s’accompagnent d’une hausse de la demande.
La semaine du 15 août a été marquée par une nouvelle série de baisses de cours de forte ampleur alors que le commerce européen peine toujours à retrouver de l’élan, et ce malgré des niveaux d’offres faibles.
En 2022, la production porcine recule de nouveau (- 2,2 %) dans un contexte de diminution des cheptels français et européen.
Selon les acteurs de marché, les offres sont faibles. Cette faiblesse de l’offre ne devrait pas s’améliorer avec la montée précoce des températures.
En avril, ce sont les prix internationaux du porc qui ont le plus augmenté.
Sur douze mois glissants, les volumes de porcs abattus sont en net repli.
Peu de changement concernant les tendances de prix du porc par rapport à la semaine précédente : dans le nord de l’Europe les cours ont été reconduits tandis qu’en Espagne, en Italie et en France, les hausses s’enchaînent semaine après semaine.
Les importations chinoises de viande et d'abats de porc restent à des valeurs bien inférieures à celles de la même période de l'année passée.
En 2021, les exportations de viande de porc ont augmenté de 66% en valeur et de 54,4% en volume par rapport à 2017.
La République de Corée reconnaît désormais les mesures strictes de régionalisation prises par l'UE pour lutter contre les foyers de peste porcine africaine.