La Commission propose la création d'un groupe à haut niveau sur le secteur porcin
Le groupe de haut niveau travaillera pour trouver une solution à la crise actuelle à moyen et long terme.
Le groupe de haut niveau travaillera pour trouver une solution à la crise actuelle à moyen et long terme.
La situation semble se détendre sur les marchés européens avec une réduction de l’offre qui s’accompagne d’une amélioration de la situation sanitaire laissant espérer une reprise du commerce intracommunautaire.
La baisse des offres en Europe soutient les prix du porc, soit dans la stabilité soit vers la hausse comme en Espagne. Par contre, l’Italie subit les conséquences de l’apparition de la fièvre porcine africaine dans le nord du pays en abaissant encore cette semaine ses prix de 3,4 cents du kilo vif.
51,8 millions de têtes de porcs ont été abattues en 2021, soit une baisse de 2,9 % par rapport à l'année précédente. L'abattage des porcs importés a été presque réduit de moitié.
Les tendances de prix observées sur les marchés de l’offre la dernière semaine de janvier se sont poursuivies la semaine dernière.
Le mois de janvier est un mois souvent peu propice à une forte demande. L’activité d’abattage semble partout réduite par un manque de personnel dans les entreprises et d’autre part le marché de la viande reste toujours encombré.
Dans le nord de l’Europe, de nombreuses places de cotations ont annoncé des baisses de prix du porc en fin de semaine passée.
Burset suggère une sortie possible de la situation actuelle, avec des prix à 1,30 voire 1,40. Tu veux savoir à quel mois ?
L’image de ce mois-ci ne pourrait pas être plus actuelle...
En Allemagne le cours moyen de référence 2021 se fixe à 1,34 euro, en baisse de 14% par rapport à 2020, tandis que en Espagne le prix moyen s’élève à 1,253 euro kg/vif, ce qui représente une baisse de 5,9%.
Malgré des prix bas conjugués à des coûts de production très élevés, la situation du marché porcin en Europe est considérée comme plus équilibrée en cette fin d’année.
En Allemagne, le marché de l’offre se détend légèrement. En Espagne on espére un peu plus de fluidité pour le début de l’année prochaine.
Les subventions permettront aux abattoirs et aux usines de transformation d'accroître leur capacité et leur efficacité.
C’est une nouvelle semaine sans grand changement sur les marchés du porc en Europe, les cours évoluant dans une globale stabilité, à des niveaux toutefois bien bas au regard des coûts de production qui n’ont, semble‐t‐’il, pas fini d’augmenter.
Le commerce du porc en Europe est partagé entre une timide reprise du commerce, en particulier dans le secteur de la transformation.
Un essai permettra aux établissements d'abattage de porcs participants de fonctionner à une vitesse de ligne plus élevée.