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Dans cette présentation, nous allons vous expliquer comment les hormones agissent sur le déclenchement de la mise-bas, la lactation et la venue des chaleurs post-sevrage.

Sur les 4 derniers lots de sevrés, environ 3 % des porcelets étaient anorexiques et léthargiques. Tous les traitements appliqués ont échoué (injections d'amoxicilline ou florfenicol) et finalement les porcelets moururent.

Il faut faire en sorte que le sevrage soit un processus progressif, pas un événement traumatisant, en évitant les changements brusques.

Au bout de 6-7 h le colostrum a déjà perdu 50% de ses immunoglobulines et 90% au bout de 24 h.

Dans un système avec 2,35 mises-bas par truie par an, plus de 14 porcelets nés, plus de 11 sevrés par mise-bas et autour de 1% de pertes au sevrage, que peut-on faire pour améliorer ?

Bien qu'aucun des salariés n'ait affronté auparavant un cas de GET, ils étaient préoccupés de savoir si c'était cette maladie.

Près des ¾ des pertes arrivent dans les trois premiers jours de vie, en particulier dans les 48 premières heures.

Nous lançons une nouvelle rubrique qui présentera les fiches pratiques sur la conduite d’élevage. Le premier thème traité concerne la préparation de bouillies.

Les porcelets qui tètent dans la partie postérieure commencent à manger de l'aliment avant les autres, ce qui expliquerait une meilleure adaptation au sevrage.

Le résultat recherché de la conduite stratégique du cheptel de renouvellement au niveau de l'entreprise est la minimisation des pertes économiques potentiellement dues au SDRP.

Beaucoup d'inséminations n'arrivent pas à terme et que celles qui le font produisent peu de porcelets. Même s'il y a des causes sanitaires, il y a beaucoup de facteurs liès à la conduite d’élevage.

Une analyse a été réalisée dans laquelle on a observé une différence allant jusqu'à 200 g de poids à la naissance dans des élevages avec des génétiques et des tailles de portées similaires.