Page 5 sur Articles sur Aliment en Nouvelles

Mardi, les nouvelles règles sur des moyens plus responsables de produire, de vendre et d'utiliser des aliments médicamenteux pour animaux pour faire face à la propagation de la résistance aux antimicrobiens ont été convenues de manière informelle avec les négociateurs du Conseil.

Les ventes totales ont augmenté pour les trois principales catégories d'animaux d'abattage (bovins, porcins et volailles).

Action de l'UE contre le gaspillage alimentaire : la Commission publie un guide visant à faciliter la valorisation des denrées alimentaires n'étant plus destinées à la consommation humaine en tant qu'aliments pour animaux.

La production de protéagineux est supérieure à la moyenne des cinq dernières années.

Le Fødevareinstituttet (Danemark) et le RIKILT (Pays-Bas) seront les nouveaux laboratoires de référence pour les métaux et les composés azotés et pour les mycotoxines et les toxines végétales dans les aliments pour animaux et les denrées alimentaires.

La production industrielle d'aliments pour animaux dans l'UE-28 en 2017 a atteint un niveau estimé de 156,7 millions de tonnes, soit 0,2% de plus qu'en 2016, selon les chiffres fournis par les membres de FEFAC.

La Thaïlande a promu diverses nouvelles normes restreignant l'importation d'aliments pour animaux et ingrédients pour ceux-ci contenant certaines protéines animales.

L'EFSA a lancé une consultation publique sur son projet de document d'orientation relatif à l'évaluation de l'efficacité des additifs utilisés en alimentation animale.

Une hausse de la production de maïs devrait faire augmenter le ratio stock-utilisation des céréales pour lui faire atteindre son plus haut niveau depuis 2002

Sur les 9 premiers mois de l’année 2017, la production d’aliments composés reste en légère baisse de 0,7%.

En septembre 2017, le prix à la production porcine confirme sa tendance baissière.

Les droits de douane sont maintenant fixés au 10 octobre 2017, et seront appliqués jusqu'à ce qu'un nouveau chiffre soit demandé et calculé par le méchanisme automatique en place.

Une nouvelle étude de la FAO publiée par Global Food Security que l'élevage s'appuie en premier lieu sur les fourrages, résidus de récoltes et sous-produits non comestibles pour les humains, et que certains systèmes de production contribuent directement à la sécurité alimentaire mondiale, car ils produisent plus de nutriments de plus grande valeur pour les humains, tels que les protéines, qu'ils n'en consomment.

Cette taxe revue, soutenu par un mécanisme automatique calculant les droits de douane à l'importation, évitera que les producteurs européens se trouvent en désavantage.

Les décisions d'autorisation ne concernent pas la culture.

En juin vient d'être publié dans le JOUE la troisième actualisation du catalogue de matières premières pour aliments pour animaux.