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Les prix mondiaux de la viande de porc ont légèrement baissé en janvier en raison de l'offre abondante de porcs prêts à l'abattage et des importations chinoises plus faibles que prévu.

Les estimations concernant la production et les exportations du Brésil sont revues à la hausse, tandis que le volume des importations du Mexique a été ajusté à la baisse.

Dans son dernier rapport "Livestock and Poultry : World Markets and Trade" du 12 janvier, l'USDA recalcule les chiffres de clôture pour 2022 et ses estimations pour 2023, prévoyant une croissance de la production mondiale de viande de porc cette année grâce à une hausse de l'offre nationale chinoise.

Il y a eu une augmentation des exportations vers la Chine de porc et d'abats.

En décembre, on a constaté une forte diminution du nombre de porcs abattus, le stock de porcs diminuant moins rapidement.

FEBEV et FENAVIAN ont décidé d'intégrer les systèmes calculant les fluctuations du marché existants.

La Commission européenne a examiné le projet de loi sur l'étiquetage obligatoire de l'élevage en Allemagne et n'a pas exprimé d'objection dans le cadre de cette procédure.

Les prévisions concernant la production de maïs sont de nouveau revues à la baisse en raison d'une nouvelle diminution des récoltes aux États-Unis, en Argentine et au Brésil. Pour le soja, le fait marquant est une réduction de 4 millions de tonnes de la récolte argentine en raison de la sécheresse.

Évolution de la production de matières premières en Chine en 2022.

La diminution du nombre d'animaux abattus et la baisse de la consommation de viande de porc en Allemagne amènent désormais Danish Crown à revoir son approche.

Au Brésil, le pouvoir d'achat tend à rester faible, ce qui fait augmenter la demande nationale de viande de porc.

La Chine a produit 55,41 millions de tonnes de viande de porc en 2022.

FranceAgriMer souhaite expertiser la valorisation des effluents d’élevage en fertilisation.