Améliorer la perception du verrat par les truies
L'idée consiste à modifier les portes de l'enclos où sont hébergées les truies en groupe pour augmenter le contact avec le verrat.
L'idée consiste à modifier les portes de l'enclos où sont hébergées les truies en groupe pour augmenter le contact avec le verrat.
A cette occasion, Joan Wennberg discute avec Heraclio Corchón et Javier Lorente sur les systèmes d'alimentation et le contrôle d'ambiance en matérnité
Cette astuce explique comment créer des nourrices pour les adoptions.
La production laitière des truies est l’un des facteurs qui a le plus évolué sur les dernières décennies.
Dans ce chapitre, nous détaillerons plusieurs aspects concernant la programmation des mises-bas ….
Une astuce simple, économique et pratique consiste à identifier les truies de renouvellement avec des boucles de couleurs différentes selon la bande.
Cette organisation peut constituer une bonne solution quand la priorité est donnée au suivi des mises-bas et des portées durant les premiers jours.
Il est facile d'observer la réaction des truies (de toutes !) lorsqu'on leur donne du papier, il suffit d'une poignée à portée de la bouche, et voilà... Oxytocine ! Le résultat est le même qu'avec une piqûre !
Dans les grands élevages, il est courant de sevrer plus d’une fois par semaine.
Les inconvénients de conduite qu’implique le fait d’ajouter un aliment de plus sont compensés par l'amélioration des résultats de production et par la diminution des problèmes en salles de mise-bas.
Selon le jour choisi pour le sevrage, les inséminations et les mises-bas trouvent plus ou moins bien leur place dans les jours ouvrés de la semaine.
Dans ce chapitre nous allons présenter des systèmes permettant de mieux ajuster les règles d’insémination.
Un aliment spécifique de pré-lactation permet de redéfinir la formule de début de gestation. L'économie faite pendant les 13 premières semaines de gestation peut être réinvestie dans l'aliment de pré-lactation.
Nous allons vous présenter différentes solutions permettant d’optimiser les inséminations en fonction des chaleurs.
L’élevage signale un problème de faible prolificité (moyenne des nés-vivants annuelle de 11,91) et une faible fertilité en été avec une augmentation notable de retours acycliques.