Retour progressif à la fluidité des marchés
En Europe, la demande en viande s’améliore mais les fériés du mois de mai et le ralentissement d’activité de certains abattoirs pèsent aussi sur la fluidité du marché.
En Europe, la demande en viande s’améliore mais les fériés du mois de mai et le ralentissement d’activité de certains abattoirs pèsent aussi sur la fluidité du marché.
Les tendances de prix ont été globalement identiques à celles de la semaine précédente avec de la stabilité dans le nord de l’Europe et en France et de légères hausses en Espagne et en Italie.
L’amélioration amorcée sur les marchés porcins la semaine précédente s’est confirmée avec des tendances de prix entre stabilité et légère hausse.
Les tendances sont restées stables à positives sur les marchés européens du prix du porc la semaine passée.
Globalement, la tendance reste positive sur la plupart des places de cotations en Europe.
Il semble que nous ayons déjà atteint le plancher des prix, bien que personne n'exclue une possible recrudescence de contagion par le Covid-19. Nous nous inquiéterons en temps utile de ce qui pourrait se passer lorsque la Chine aura retrouvé son autosuffisance, pas maintenant.
Après plusieurs semaines de fortes baisses où les cours ont chuté de 20 à 35 %, la situation sur les marchés semble se stabiliser.
L’exemple de la stabilisation allemande a été suivi sur certaines places nord-européennes et a contribué à freiner les baisses sur d’autres marchés.
Fin avril, près d'un tiers des abattoirs ont réduit leur production ou fermé, et les prix du porc ont dû baisser de 35%.
Le commerce de la viande de porc reste très difficile partout et malgré des niveaux d’offres de porcs pas trop élevés, les prix à la production pâtissent lourdement de cette situation.
Plus les semaines passent et plus la situation sur les marchés porcins se détériore.
Une baisse cumulée de 10 % du prix du porc en Espagne semble douce, voire très douce pour ce qui est à venir. Accrochez-vous, les virages arrivent...
Malgré la présence du ou des fériés de Pâques, l’offre de porcs reste encore gérable face à une demande en demi-teinte, en particulier pour des pièces plus spécifiquement destinée à la consommation hors foyer.
En Europe, la perte de jour(s) d’activité en raison des fêtes de Pâques a réduit la demande de porcs vivants tandis que la demande de viande reste modérée, surtout sur les marchés intérieurs.