SDRP: interaction avec d'autres pathogènes respiratoires
Le virus SDRP peut par lui-même induire des problèmes respiratoires légers ou graves mais rarement de la mortalité
Le virus SDRP peut par lui-même induire des problèmes respiratoires légers ou graves mais rarement de la mortalité
Entourer les élevages avec une cloture de haie haute réduit le risque de transmission par voie aérienne.
Actuellement, presque tous les fournisseurs génétiques de renouvellement nord-américains sont indemnes de M.hyo.
Etant donné qu'une grande majorité des élevages commerciaux sont endémiquement contaminés par M. hyopneumoniae, les mesures de contrôle du SDRP doivent prévoir des mesures de contrôle de M. hyo.
Les pertes économiques associées avec M. hyopneumoniae seul ou en combinaison avec le SDRP font partie des quatre défis sanitaires avec les plus grandes pertes économiques dans la population étudiée.
L'échantillonnage transversal (différents groupes d'âge pendant une visite d'élevage) a l'avantage de donner des résultats rapides.
Les pathogènes porcins qui sont majoritairement transmis par contact direct, de porc à porc, sont en général maîtrisés avec les programmes de biosécurité et les stratégies de conduite actuelles. Cependant, les pathogènes qui sont transmis par voies multiples semblent fuir les systèmes de biosécurité standard
L'impact économique de M. hyopneumoniae est très influencé par la conduite et les conditions de l'élevage.
Des rapports récents montrent encore une prévalence élevée du pathogène dans la plupart des pays producteurs de porcs.
La connaissance de la dynamique d'infection dans les élevages permettra de mettre en place de meilleures stratégies de contrôle dans les élevages atteints.
Bien qu'elle soit une bactérie commensale, Mycoplasma hyorhinis peut causer une maladie systémique grave par des mécanismes encore inconnus.
L'efficacité des vaccins contre le PCV2 a été fortement réduite par l'effet de certaines pratiques telles que l'excès d'adoptions, les mélanges de porcelets après le sevrage ou le logement de porcelets en grands groupes.
La prévalence de la pleurésie est étonnamment élevée sur les porcs à l'abattoir. Une récente étude a montré des données de 12,5 % au Royaume-Uni, 26 % en Espagne et jusqu'à 41 % sur des porcs individuels dans une étude norvégienne.
L'infection expérimentale par Mhyo et le PCV2 a donné de résultats quelque peu divergents.
En juillet 2010 un sévère épisode respiratoire s'est produit dans l'élevage : toux sur le cheptel de renouvellement, toux et dépression en engraissement, avec aussi une augmentation du pourcentage de mort-nés et de momifiés sur un lot de truies.