Diagnostic des maladies associées au PCV2 : une question d'ordre
Malgré l'utilité évidente du diagnostic de laboratoire, il ne faut pas oublier qu'une autopsie nous permet de "rembourser" en partie la perte produite par la mort de l'animal.
Malgré l'utilité évidente du diagnostic de laboratoire, il ne faut pas oublier qu'une autopsie nous permet de "rembourser" en partie la perte produite par la mort de l'animal.
La vaccination des cochettes contre le PCV2 avant l'insémination par de la semence infectée en PCV2 diminue clairement la charge et l'excrétion virale, jusqu'à des valeurs compatibles avec la protection des foetus.
L'infection des porcs se produit à la mise-bas mais l'immunité maternelle contient l'infection virémique sur les porcelets jusqu'à ce que celle-ci diminue environ à 10 semaines d'âge, moment où l'infection cachée réapparaît.
Le PCV2 ayant une grande résistance dans l'environnement et de fortes capacités de transmission, il n'est pas surprenant qu'il ait une distribution ubiquiste.
Une des bases potentielles de la sélectin génomique est l'identification de gènes ou de régions spécifiques avec un impact significatif sur la santé porcine et l'amélioration de la sélection sur la résistance et/ou la tolérance aux maladies.
Il se peut qu'il y ait actuellement un certain doute sur les effets bénéfiques du vaccin contre le PCV2, tant sur l'aspect clinique qu'économique dans les infections subcliniques sur les porcelets, mais… quel est le rôle de la truie ? Est-il possible que la vaccination puisse avoir des effets positifs sur l'infection subclinique des truies ?
Il s'agit de virus ubiquistes qui peuvent potentialiser des complexes comme le PCVD ou le CRP.
C'est un outil pour calculer la gravité de la MAP dans son élevage, le coût de la maladie et ce qui pourrait être la mesure de contrôle la plus rentable.
Le PCV2 peut atteindre les embryons / foetus par le placenta pendant la virémie ou par l'insémination avec de la semence contaminée.
L'efficacité des vaccins contre le PCV2 a été fortement réduite par l'effet de certaines pratiques telles que l'excès d'adoptions, les mélanges de porcelets après le sevrage ou le logement de porcelets en grands groupes.
Un mois après le début d'un trouble de la reproduction, on a détecté sur des porcelets de 6 à 8 semaines de vie, des problèmes respiratoires et de la diarrhée aigüe qui ne répondaient pas aux antibiotiques...
La prévalence de la pleurésie est étonnamment élevée sur les porcs à l'abattoir. Une récente étude a montré des données de 12,5 % au Royaume-Uni, 26 % en Espagne et jusqu'à 41 % sur des porcs individuels dans une étude norvégienne.
L'efficacité des vaccins contre le PCV2 a été clairement démontrée non seulement sur les porcelets et les truies. De plus, il est faisable de vacciner les truies et leur descendance sans diminuer la croissance des porcelets pendant la phase d'élevage.
L'infection expérimentale par Mhyo et le PCV2 a donné de résultats quelque peu divergents.
Le PCV2 peut-il être excrété par la semence et se transmettre ainsi aux truies par l'IA en causant un trouble de la reproduction? Cet article présente les données des recherches les plus récentes.
Les changements génomiques peuvent être associés à une augmentation de la virulence ou à une baisse de l'immunogénicité.