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Après le sevrage, les porcelets trouvent facilement la mangeoire, mais ceux n’ayant pas eu accès au creep feed pendant l’allaitement ne reconnaissent pas l’aliment comme nourriture.

Des problèmes de fertilité avec des performances de reproduction variables apparaissent. Dans les sevrages il y a des nécroses d'oreilles et de queue et, en engraissement, il y a des cas répétés de diarrhées à de âges inhabituellement élevés, des prolapsus rectaux...etc.

Malgré de grandes variations sur les prix de l'alimentation au cours des dernières années, la proportion des différents ingrédients est restée relativement stable.

Le type d'alimentation, le choix des ingrédients et l'incorporation d'additifs ont le potentiel de moduler la microflore gastrointestinale, en réduisant le coût énergétique de l'entretien et en contrôlant aussi les bactéries pathogènes.

Avec les distributeurs sec-humide, l'animal peut chosir entre ingérer l'aliment sec ou le mouiller poréalablement.

Le Dr. John Patience a sorti un «top ten» des changements en matière de nutrition qui ont eu un impact majeur au cours des 20 dernières années.

Les porcelets qui tètent dans la partie postérieure commencent à manger de l'aliment avant les autres, ce qui expliquerait une meilleure adaptation au sevrage.

Ce cas décrit un épisode aigu d'ulcères gastriques chez des porcs de 30-40 kg qui a touché 38 élevages sur un an et qui a présenté des mortalités allant de 5 à 40 % selon la sévérité des cas.

On sait depuis longtemps, que, de toutes les espèces étudiées, les porcelets sont ceux qui naissent avec les plus faibles niveaux circulaires de 25 (OH) D...

La vitamine D est synthétisée dans la peau exposée à la lumière solaire.Heureusement la vitamine D peut être ajoutée à l'alimentation.