Articles - Santé

Entretien avec Kristien Van Reeth, professeur de virologie et expert en grippe porcine. Le Dr Van Reeth estime que ces résultats intéressants nécessitent beaucoup plus de nuances, et elle essaie de mettre les choses en perspective.

Cet article passe en revue les différentes options de diagnostic du SDRP en fonction des différents scénarios pour lesquels nous effectuons un échantillonnage du SDRP sur le terrain.

Tous les progrès ne passent pas par l'élevage connecté : une solution simple qui peut améliorer considérablement la biosécurité entre les lots de porcelets sevrés, en évitant la recirculation des maladies.

Quels types de cellules composent le système de défense respiratoire chez les porcs ? Comment s'organisent-elles et communiquent-elles entre elles ?

Cet article analyse les différentes lésions micro et macroscopiques causées par le virus du SDRP, le PCV2, le virus de la grippe porcine et le coronavirus respiratoire porcin.

Différents agents pathogènes respiratoires produisent différents types de toux. La toux des porcs dans un bâtiment d'engraissement peut varier en fonction de l'infection présente. Cela vaut la peine d’écouter attentivement.

Cet article résume certaines des mesures les plus importantes illustrées dans une vidéo animée pour empêcher la propagation du COVID-19 parmi les travailleurs qui effectuent leurs tâches quotidiennes sur l'élevage.

Ce vaccin semble prometteur, mais ... allons-nous le voir arriver en Europe ?

Le monde des virus est dynamique. Leur épidémiologie varie en fonction de nos actions et de nouvelles souches et de nouveaux sérotypes apparaissent. Sommes-nous prêts ?

Pourquoi est-il si compliqué de parvenir à une biosécurité efficace dans les transports ?

La biosécurité dans les élevages est essentielle pour empêcher l'entrée de nouvelles infections et maladies porcines, mais les maladies humaines peuvent également être dévastatrices: le Covid-19 peut mettre en danger l'équipe humaine de notre élevage.

Leçons tirées par deux des meilleurs virologues du secteur porcin américaine, le Dr Torremorell et le Dr Culhane, d'autres épidémies de coronavirus qui se sont propagées dans le monde entier au sein de la filière porcine.

Dans cet article, nous reproduisons les indications de l'OMS pour l'hygiène des mains, ce qui est très important au quotidien dans un élevage de porcs car un lavage incorrect peut laisser de côté des zones sales.

Ce protocole permet de surveiller la présence du virus dans toutes les phases de production avec de bons résultats, peu de difficultés techniques et un moindre coût.

Les nourrices peuvent représenter une source d'infection pour les porcelets nouvellement adoptés.

Parmi les causes possibles, on peut penser à un faible niveau de vitamine E dans l'alimentation des truies, à un empoisonnement à la warfarine ou à un purpura thrombocytopénique.

La catégorisation actuelle des antibiotiques est-elle définitive ? Un vétérinaire peut-il avoir un problème quelconque si, avec un diagnostic et ses critères, il utilise un antibiotique du groupe B ? Quelles mesures l'administration va-t-elle prendre pour promouvoir une amélioration de la santé des porcs ?

Les voies d'inoculation intranasale et intratrachéale sont discutées, ainsi que la diffusion d'aérosols avec des nébulisateurs.

L'apport supplémentaire de nutriments par l'eau de boisson est un outil rapide en période de stress.

Quel est le risque de transmission de maladies par l'importation de matières premières ? De nombreux ingrédients sont produits en Chine.

Sommes-nous prêts à faire ce pas en avant ? Et déclarer une suspicion ? Savons-nous comment procéder? Quels sont les protocoles qui seront mis en œuvre et à quelle vitesse vont-ils se dérouler ?

La grande diversité génétique du virus complique non seulement les tests de laboratoire, mais aussi l'estimation du niveau de protection des porcs.

Un vétérinaire doit-il traiter les animaux malades quelles que soient les circonstances ou les conditions qui ont favorisé l'apparition de la maladie ? Prophylaxie ou métaphylaxie ?

Dans un monde où les ingrédients de l'aliments sont commercialisés à l'échelle mondiale, connaissons-nous la dose minimale pour transmettre le virus de la PPA dans les aliments ? et dans l'eau ?