
Les signes de la mise bas : physiologie et comportement de la truie
Comprendre la mise bas et reconnaître les signes de ses différentes phases permet de développer des plans de conduite pour améliorer le taux de survie des porcelets.

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Comprendre la mise bas et reconnaître les signes de ses différentes phases permet de développer des plans de conduite pour améliorer le taux de survie des porcelets.

Actuellement, seule la fraction riche est utilisée. Cet article traite de l'utilisation possible d'autres fractions.

Josep Gasa et Josep Casanovas commentent, respectivement depuis leur position académique et sur le terrain, une étude récente sur l'effet du stress thermique chez les truies : pendant quelles semaines affecte-t-il davantage le taux de mise bas ? et l'intervalle sevrage-insémination ? Y a-t-il des différences en fonction du rang de mise bas ?

Nous poursuivons notre comparaison des données de production entre les élevages de truies en Espagne et aux États-Unis. Cette fois, nous nous concentrons sur le taux de renouvellement, la mortalité avant sevrage et le poids au sevrage.

Comparaison des données de production entre les élevages de truies en Espagne et aux États-Unis.

L'échographie peut être utilisée pour visualiser les structures ovariennes, évaluer l'état pubertaire et diagnostiquer les pathologies ovariennes.

Pour terminer cette série d'articles, le spécialiste de la reproduction porcine et de l'insémination artificielle Javier Gil nous explique l'importance d'une bonne gestion post-insémination quant au moment de déplacer les truies et comment les nourrir.

L'incidence et la distribution des petites portées et les facteurs qui affectent le nombre de nés vivants.

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Les réponses des utilisateurs de 333 à l'enquête sur la durée de gestation chez les truies montrent une tendance à des gestations autour de 115,5 jours.

Poursuivant la série d'articles dans lesquels le spécialiste de la reproduction porcine et de l'insémination artificielle Javier Gil nous donne les points clés sur une bonne gestion pour améliorer la fertilité et la prolificité, cet article détaillera des aspects importants sur les doses séminales et leur conservation.

Depuis 2017, l'entrée des cochettes en chaleurs (avec réflexe d'immobilité) diminue progressivement jusqu'à atteindre un niveau inférieur à 50-60% des cochettes préparées pour l'insémination ...

Poursuivant la série d'articles dans lesquels le spécialiste de la reproduction porcine et de l'insémination artificielle Javier Gil nous donne les points clés d'une bonne gestion pour améliorer la fertilité et la prolificité, cet article abordera les critères à prendre en compte pour établir un schéma correct d'insémination.

J'ai vu de nombreux cas dans lesquels les résultats d'un élevage étaient le produit d'une personne qui recherchait l'excellence. Les meilleurs travailleurs mettront en œuvre ce que nous leur apprenons et, avec leur travail et leurs observations, ils atteindrons un niveau supérieur.

Depuis plusieurs années maintenant, l'insémination post-cervicale est devenue une règle courante dans la plupart des élevages porcins. Dans cet article, nous passons en revue avec Javier Gil, spécialiste de la reproduction porcine et de l'insémination artificielle, les aspects à prendre en compte pour la réaliser correctement.

Les écarts du profil de consommation normal de la truie pendant la phase de lactation ont d'importantes implications productives.

Bien qu'il s'agisse d'une technique bien connue, dans son application à l'élevage des erreurs continuent d'être commises et des doutes sont générés que nous essaierons de résoudre.




Dans une série d'articles, le spécialiste de la reproduction et de l'insémination artificielle porcine, Javier Gil Pascual, aborde les aspects clés autour de la stimulation et de la détection des chaleurs et de l'insémination.

Certaines habitudes de gestion sont largement intégrées au travail quotidien de nombreux élevages. On peut même penser qu’il existe une bonne raison logique derrière ces habitudes, mais ont-elles été prouvées scientifiquement ?

Un taux de rétention élevé indique-t-il un bon niveau productif ?

Dans la première partie de cette série d'articles, nous traitons de comment effectuer une stimulation correcte de la venue en chaleurs. Dans cet article, nous continuons à discuter avec le spécialiste de la reproduction et de l'insémination artificielle porcine, Javier Gil Pascual, et nous nous concentrons sur la détection des chaleurs.

Les cochettes ont plus de retours. Pourquoi ?

Quel indice explique mieux la performance : le taux de mise-bas ou les jours non productifs ?

Qu'est-ce qui a le plus de poids: l'élevage ou la génétique?

Cela vaut-il la peine d’acquérir des truies hyperprolifiques pour mon élevage ?



La gestion de la semence morte, la gestion des enregistrements, les vaccinations, ... sont quelques exemples que nous traiterons dans les 6 cas pratiques suivants.

Non seulement il est lié aux JNP, mais il peut avoir plus d’impact que nous ne pouvons le supposer initialement.

La reproduction porcine et l'été ne sont pas de bons amis. La chaleur arrive, les heures d'ensoleillement diminuent, la fertilité baisse et les vétérinaires inventent plus de pathologies de la reproduction que le reste de l'année. Pourquoi toujours faire la même chose ne donne pas toujours le même résultat ?

Les différences morphologiques dans la paroi et le canal du col de l'utérus entre truies multipares et nullipares nécessitent des dispositifs d'IA profonde adaptés aux caractéristiques des nullipares.

L'un des indicateurs les plus en vogue est celui des porcelets sevrés par truie éliminée. Cet indicateur correspond au nombre total de porcelets qu'une truie a sevrés tout au long de sa vie productive.

Nous recommandons que les producteurs accordent une attention particulière aux primipares et aux truies qui peuvent augmenter leurs jours non productifs (JNP). L'article décrit les situations dans lesquelles le risque augmente.

Nous parlons du poids et de l'âge à l'insémination, de l'adaptation aux cages, du flushing, de la façon de détecter les chaleurs et d'inséminer, de séparer ou non les cochettes, ...

Parfois, les producteurs finissent par utiliser de la semence avec une capacité de fertilisation sous-optimale en raison de conditions de stockage inadéquates.

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